Daphné: Esclave sexuelle (Partie 6)
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
Lesbienne
... tous les deux dans un rythme qu'il avait déjà du pratiquer tous les deux. Je sentis ses liqueurs se mélanger au mienne et on partit pour une extraordinaire chevauchée. J'eus de nombreux orgasmes, ainsi que ma partenaire. L'homme était vigoureux et tenait la distance. Moi, le sexe qui me possédait, ne risquait pas de perdre de sa puissance. Lorsque que l'on atteint l'orgasme ultime, j'étais déjà ailleurs, tout mon corps concentré sur un point précis de mon corps : mon vagin. Je jouis comme jamais je n'ai jouis. Je m'enfonçais dans une douce torpeur, ivre de sexe et de liqueur. Je sentis que l'on me transportait, et des draps frais me couvrir le corps. Je m'enfonçais dans un sommeil bienfaisant. Le soleil était déjà bien haut dans le ciel à mon réveille. Mon amante était là, me regardant d'un regard amoureux. Je souris en la regardant. Je voulus me lever mais mon sexe me fit trop mal. -Chut, ne bouge pas. Je sais que cela fait très mal le lendemain. Vu la façons dont tu t'es démené, je savais le résultat d'avance." Elle se pencha vers moi, et je reçus le baisé le plus affectueux de la part d'une femme. Nos langues se mêlèrent délicieusement. -Je sais comment calmer tes douleurs. Eric passera dans trois heures te chercher, alors détend toi." Elle ouvrit un pot de crème qui se trouvait sur la table de nuit, repoussa les drap dévoilant mon corps nue et frais après une douche qu'elle avait du me faire prendre. -Retourne toi! Je vais te masser." Je me retournais difficilement. ...
... J'entendis un bruit de tissus, et vis son peignoir tomber à terre. Elle s'assit sur mes fesses et sa courte toison caressa mon postérieur. Elle commença alors son massage et c'est vrai que cela me détendit. -Oh, mon amour, je suis triste que tu t'en ailles. Eric a beaucoup de chance de t'avoir, et surtout ton mari. Je voudrais tant te garder pour moi tout seule et goûter encore et encore à tes charmes." Je fus surprise de ressentir la même chose. Mon sexe commença à perler sous la caresse de ses mains. Lorsqu'elle s'apprêta à me masser l'intérieur de mes cuisses, elle remarqua mon émoi. -Oh, ma chérie, tu es toujours prêtes à te faire honorer." Elle descendit de mon corps, souleva mes hanches de ses deux mains et j'accueillit avec joie sa bouche sur mes lèvres endoloris. Je gémis sous sa bouche experte. La pièce se remplit des bruits de sa langue et de mes gémissements. Elle fut gentil de ne pas s'occuper de mon clitoris. Je voulais jouir en douceur, lentement. Seul une femme pouvait comprendre cela. Elle me mangeait comme on mange un fruit mûre et juteux. Je me caressais la poitrine dont les tétons bandaient avec arrogance. Ce fut l'une des plus merveilleuse caresse buccale que l'on me prodigua. Je finis par jouir, récompensant mon amante avec mes liqueurs sucrées. Elle me nettoya avec sa bouche et quand elle me rejoignit en haut du lit, je n'avais plus mal du tout. On s'embrassa alors avec fougue et elle m'offrit un peu de liqueur qu'elle avait gardé pour moi. Je pris mon petit ...