1. Le baiser de Tarentula 21H


    Datte: 27/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... la main, sûr de lui, un sourire moqueur aux lèvres. Alors que ma femme, qui avait glissé sa main dans son jean, jubilais : _ Vas-y Gauthier ! Allez vas-y ! Pisse lui à la gueule ! Celui-ci qui, c'était éloigné, me fit signe du doigt tout en ordonnant : _ Approche, je veux voir ta gueule. La nuit était noire à présent et je sortis de la haie, en pleine lumière. Je me traînais à genoux jusqu'à arriver à quelques centimètres de sa bite. Je fixais le bout de celle-ci. Une goûte de sperme s'écoulait de son méat urinaire que je trouvais étonnamment gros. Du coin de l’œil, je pouvais discerner le mouvement de ma femme qui se tenait tout à coté. Sa main dans sa culotte s'agitait. Je ressentit pleinement son excitation lorsqu'elle s’écriât, haletante : _ Allez ! Fais le lui ! Putain, il faut que je voie ça ! Allez ! Vas-y ! Lorsque Gauthier se soulageât, je fermais les yeux. Le jet vint s'écraser sur mon front puis dans mes cheveux et enfin sur ma figure. Je sentais la pression de ce jet parcourir mes joues, mes paupières, mon nez, puis insister sur ma bouche, longuement. Je gardait celle-ci obstinément fermée. J'étais la propriété de Tarentula. Hors de question de lui laisser « m'utiliser » pleinement même si ce salaud s'en donnait a cœur joie. Dans mon humiliation, je tirais une certaine fierté à lui résister ainsi. Mais cela n'avais pas l'air de le déranger le moins du monde. Il ricanait : _ Ouais !!! Ahhh ! Prend ça dans ta face, sale pédé ! Putain c'te tête ! Et il éclata de ...
    ... rire. Je sentis le jet faire des soubresauts sur mon visage. Patricia se régalait du spectacle. Les yeux fermés, je ne pouvais que l'imaginer en train de se masturber. Mais, au son de sa voix, je savais à quel point cette vision lui était agréable : _ Oui !!! Oh c'est bon ! Comme c'est bon, putain ! Oui vas-y chéri ! C'est toi le plus fort ! Il mérite que ça ce con. Putain comme c'est bon ! Après je te sucerais encore ! Le jet finit par se tarir, finissant par m'arroser le torse, le ventre, puis mon sexe encagé. Je dois avouer que de sentir ce liquide tiède sur ma bite me procura du plaisir. Je sentis celle-ci réagir dans sa cage. J'ouvris enfin les yeux et pris une grande respiration. Je m'aperçus que je n'avais pas ou peu respiré pendant toute « l'opération ». Gauthier secouait sa grosse bite au dessus de moi, faisant tomber les dernières goûtes sur ma tête en ricanant. Je regardait ma femme, elle me dévisageait avec arrogance tout en se caressant l'entrejambe. Elle déclara : _ La vache ! J'étais à deux doigt de jouir. C'était trop top. Merci chéri. Elle elle embrassa son amant à pleine bouche pendant que celui-ci remontait son caleçon et son pantalon. Elle minauda : _ Je suis toute excitée maintenant. J'ai envie que tu me baise. _ Il faut que je recharge les batteries avant. T'as un truc a grignoter ? _ On va trouver ça. Mais après... Et elle l'embrassa à nouveau en lui massant l'entrejambe. Elle se tourna ensuite vers moi et me lança d'un air faussement choqué : _ Mon dieu ...
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