3 - Bonus
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
fhh,
2couples,
couplus,
voisins,
vacances,
collection,
facial,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
entrecoup,
... Augusto qui tombe le premier dans le panneau. — Mais il suffit de demander. Nous nous ferons un plaisir de réaliser « vos fantasmes », dit-il avec une gourmandise évidente. N’est-ce pas, Nathan ?— Mais oui. Demandez et nous obéirons, insiste le deuxième larron. Ils ont mordu à l’hameçon : il suffit de « ferrer », maintenant. C’est Anne qui s’en charge. — Oui, ça va, on vous connaît ! Des promesses, et au dernier moment vous reculez.— Non, non. Promis, juré. N’est-ce pas, Augusto ? Vous décidez de tout et nous suivons ; nous promettons même d’obéir comme des esclaves.— Très bien ; nous allons voir. Pour commencer, vous allez enlever vos slips, demande Anne.— Quoi, ici ?— Quand même pas. Dans les toilettes ; et au retour, vous nous les donnerez. Comme ils la regardent d’un air un peu ahuri, elle insiste. — Jamais vous n’avez pensé à nous le demander ? Ils ont compris et s’exécutent. Le repas continue normalement ; mais arrivé à la fin, c’est moi qui demande : — Chéri, tu vas monter dans la chambre, te déshabiller et m’attendre. Anne renchérit : — Toi aussi, mon chéri. Va tenir compagnie à ton ami. Au fait, sors les bandeaux de la valise… Lorsque nous ouvrons la porte de la chambre, nos deux maris sont là, manifestement en pleine conversation, supputant peut-être la suite. En tout cas, Nathan présente une petite érection, preuve de leurs espoirs. Comme nous sommes de bonnes épouses, nous leur offrons un strip-tease avant de leur bander les yeux. D’un seul coup, l’ambiance ...
... change. Ils se rendent compte que ce simple morceau de tissu peut changer la perception des choses. Une main qui effleure le corps est une inconnue ; et ces lèvres qui caressent leur sexe semblent plus chaudes, plus sensuelles, plus pulpeuses que d’habitude. Anne et moi jouons, échangeant nos places ; goûtons aux verges dressées, comparant la taille, la raideur, le parfum. Mais oui, jouons ! — À vous de reconnaître qui vous suce, lance Anne. Ne dites rien tout de suite. Attendez qu’on vous le demande. Et nous plongeons. Honneur aux maris. Nous rivalisons d’audace. Chacune regarde, épie l’autre pour le plus grand plaisir de ces messieurs. À ce petit jeu, j’absorbe la queue de mon mari jusqu’aux couilles. Je me sens la reine du pompier, de la turlute, de la gorge profonde. Il est vrai qu’Anne part avec un handicap. Enfin, si on peut appeler handicap le sexe de Nathan, plus lourd, plus noueux, plus large que celui de mon Augusto. Il faut cependant arrêter si l’on veut que nos hommes ne jutent pas trop vite. Tout juste : ils ont reconnus leur femme et le droit de revenir en deuxième semaine. — Et si on compliquait ? lançai-je, sans vraiment réfléchir. Anne m’interroge du regard. Je fais comme si j’étais sûre de moi. Et je rajoute : — Comme tout à l’heure : personne ne parle. Je fais signe à Anne d’aller s’occuper de mon Augusto. Elle obéit, sûrement impatiente de voir la suite. Pendant ce temps, j’entretiens l’érection de Nathan par des caresses de ma main, puis je pousse mon amie tout ...