L'étalon aiguille (Tome 3) (4)
Datte: 28/01/2020,
Catégories:
Transexuels
... la nôtre quand Chantal s’adressa à nous après avoir hésité un long moment. — Eh ! Vous auriez deux minutes avant de partir? J’aurais voulu montrer un truc à Phil… — Ah que quoi ça c’est? — Vous voulez bien ? Alors, venez avec moi dans la chambre, c’est là-bas. Nous pénétrâmes à nouveau tous les quatre dans la maison. Chantal semblait nerveuse… — Dis, Phil, tu chausses bien du 43? — Oui, pourquoi ? — Bon, et bien voilà… Tu sais qu’il n’y a pas qu’aux femmes que je vends des pompes ou des sapes? — Je crois qu’effectivement, Tiff et moi sommes bien placés pour le savoir… Et alors? — Et bien, un mec est venu au magasin il y a deux mois maintenant et m’a commandé des bottes. Il m’a filé les arrhes que je lui demandais, moi, je les ai reçu un peu après, mais il n’est jamais repassé. Quand j’ai enfin réussi à le contacter, il m’a dit qu’il ne "pouvait" plus les acheter, que je n’avais qu’à garder le fric mais qu’il ne fallait surtout pas que je rappelle sur son portable, qu’il comptait sur ma discrétion et tout et tout ! Encore un petit cachottier !!! Bref, ne crois surtout pas que je veuille te forcer la main, mais j’ai pensé que, peut-être… Les yeux brillants de Philippe firent tomber son inquiétude. Rassérénée, elle sortit alors d’une grande boite cartonnée une paire de cuissardes absolument époustouflantes. Le pied, effilé, était en cuir noir, mais le corps de la botte lui-même surmontait des talons aiguilles de dix centimètres et était intégralement recouvert de fourrure à ...
... partir de la cheville. Un fin et long lacet de cuir, noir lui aussi, était prévu pour venir s’enrouler et s’attacher autour du mollet comme sur une spartiate. — Le seul hic, c’est que c’est du 42. Et malheureusement pour toi, pour une fois, ce n’est pas de la botte italienne, donc ça risque d’être juste pour toi ! Tu veux les essayer quand même? — Tu oses le demander? Putain, mais même si il faut que je me coupe les doigts de pied, je veux les essayer, ces merveilles… Et je te promets que je vais rentrer dedans ! Philippe ôta fébrilement ses cuissardes à talons plats et déboutonna son jean en cuir. Pendant ce temps, Chantal s’approcha de moi et passa son bras droit autour de ma taille. Il posa le pantalon sur une chaise et se saisit de la botte gauche tandis qu’elle posait sa main sur mon sein. Assis sur le rebord du lit, il dut forcer un peu pour que le coup de pied passe. Tiffanny se colla derrière Chantal et, du bout des doigts, elle attira son visage vers elle. Philippe passa le deuxième pied au moment où elle collait ses lèvres contre celles de Tiff’. Pendant qu’il enroulait le lacet de cuir autour de son mollet, sa main à elle jouait avec ma poitrine. Quand il se releva quelques instants plus tard, épanoui, la langue tendue de Chantal fouillait ma bouche tandis que Tiffanny lui mordillait l’oreille et lui léchait le cou. — Ça va? Je vous dérange pas trop, non? Vous pourriez quand même vous occuper un peu de moi ! — Te fâche pas ! Bon, alors, dis-moi, comment tu te sens ...