L'étalon aiguille (Tome 3) (4)
Datte: 28/01/2020,
Catégories:
Transexuels
... s’amuser, toi, Sam et moi. — Mais… Et… Marie-Thérèse? — Elle nous regardera bien sagement, n’est-ce pas? Allez, venez. Nous quittâmes donc tous les quatre la chambre. Philippe s’assit dans un fauteuil face au canapé. Tiffanny se plaça à gauche de Chantal et me demanda de me mettre de l’autre coté et "de faire tout exactement comme elle". Elle fit glisser le zip qui fermait le bustier de son amie et libéra sa poitrine. Elle la caressa un instant en faisant rouler le cuir sur le coté de son sein. Je fis pareil sur l’autre. Quand nous commençâmes à en lécher les extrémités, celles-ci durcirent instantanément. Chantal renversa la tête en arrière et exhala un long soupir. Elle retroussa alors elle-même sa minijupe et son majeur s’activa doucement, provoquant une réaction immédiate de Philippe qui avait une vue imprenable : — J’y crois pas ! Tu as passé toute la soirée à poil sous ta jupe? Je n’ai rien remarqué. Merde alors, si j’avais su ! — Non, je… Je l’ai enlevée… juste après avoir aidé Sam à se changer. Nous reprîmes un instant nos caresses sur Chantal, puis Tiffanny me fit asseoir sur le canapé. Sous le regard on ne peut plus intéressé de Philippe, elles se positionnèrent chacune d’un coté, un genou posé sur la banquette, l’autre jambe assez tendue pour mettre en valeur leur superbe cul. Puis Tiff’ fit un rapide clin d’œil à son amie et toutes deux cherchèrent simultanément à baisser la fermeture éclair qui fermait mon bustier de daim. Elles me firent écarter les cuisses en ...
... plaçant chacune une de leurs jambes contre les miennes. Je me raidis une fraction de seconde, juste avant que Tiff’ ne plonge sa main sous ma jupe. Elle me caressa alors le visage de l’autre main, tout en me disant de me détendre. Quand mes petits seins jaillirent fièrement, je vis que Philippe sortait sa verge raidie à travers la fente de sa culotte noire. Chantal commença par me lécher lascivement l’épaule tandis que Tiff’ s’agenouillait juste à coté de moi. Pendant qu’elle promenait sa langue sur le haut de ma cuissarde, Chantal insinuait la sienne entre mes dents. Elle avait pris soin juste auparavant de remonter, en toute innocence bien sûr, sa minijupe sur le haut de sa cuisse, dévoilant ainsi sa chatte aux yeux de Philippe. Il commença aussitôt à se branler lentement, mais en silence, car il connaissait trop bien les règles édictées dans ces moments-là par sa femme ! Ses yeux bleus plantés dans les miens, Tiffanny fit glisser sa bouche depuis mon nombril jusqu’à ma poitrine, sans cesser un instant de caresser ma botte. En voyant le manège de Philippe, Chantal lui demanda : — Dis, Philippe, la quelle t’excite le plus? — De quoi? — Je te demande la quelle de ces trois superbes poitrines exhibées devant toi tu préfères ! — D’abord, je n’en vois que deux, et ensuite, pourquoi veux-tu que je décide. Elles sont différentes ! Il hésita un instant et reprit. — Quoi que ! … Après tout, tu as bien dit que c’était la soirée des premières, n’est-ce pas, chérie? Alors, je vais te ...