La campagne sensuelle de Pauline
Datte: 19/09/2017,
Catégories:
Première fois
... délicatement dégrafé un bouton de son corsage puis un deuxième, prenant soins de ne pas toucher ses seins que je sentais hyper sensible. Tout en caressant son ventre, j’avais délicatement fait remonter lentement sa robe jusqu’à ce que le soleil illumine sa petite culotte blanche. Pauline tressaillie quand mes doigts glissèrent de son ventre vers son bas ventre et elle ne put empêcher un petit cri d’excitation quand un premier doigt vint jouer avec l’élastique de sa culotte. Sa respiration était plus saccadée et quand mes doigts glissèrent sur le tissus de sa culotte mouillée pour venir caresser son sexe. De mon majeur je tapotais légèrement son clitoris, un point visiblement sensible car je sentie Pauline partir en orgasme sous mes doigts, le premier d’un longue série. Son corps parti en contraction et en détente et elle étouffa un cri qui en disait long sur le plaisir qu’elle venait de ressentir. Pourtant je n’avais pas fait grand chose, quelques baisers et quelques caresses, dans un lieux assez unique et des circonstances particulières. Je pense que Pauline avait rêvée depuis des nuits sur ce que nous allions faire, et de le vivre enfin l’excitait terriblement. J’accompagnais son orgasme en lui chuchotant à l’oreille qu’elle était belle, et à quel point j’aimais la sentir jouir sous mes doigts. Je lui disais la vérité, point de compliment, juste ce que je ressentais au fond de moi. Je la laissais apprécier son plaisir, sous ce petit vent, sous ce soleil, dans la quiétude ...
... de ce paysage et de ce lieu. Elle me savait là à ses cotés, fier de lui avoir apporté du plaisir et qu’elle le partage avec moi. J’étais fier de la regarder belle et douce, terriblement féminine dans sa petite robe, sa culotte blanche mouillée offerte à mes yeux, et ces jambes longues et fines toute en beauté. * * * Pauline reprenait lentement ses esprits. J’en profitais alors pour commençer à me déshabiller. Je savais que Pauline entendait mes habits se défaire, ma veste qui tombait au sol, les boutons dégrafés de ma chemise. Les chaussures enlevées et les chaussettes qui partent avec. J’étais torse nu à se cotés. Je sais qu’elle m’écoute et je sais que cette image qu’elle ne peut pas voir l’excite énormément. Le sens de la vue soumis à la frustration du léger foulard bleu décuplait la force des autres sens. C’est a demi nu et bandant à mort sous mes jeans que je me rapproche d’elle et vient effleurer son cou à peau fine et sensible que j’adore. J’évite que mon bassin ne touche trop son corps, l’instant n’est pas encore venu. Point de baisers, Pauline sait que la suite ne va être qu’effleurements de mes lèvres. Après des caresses, uniquement des effleurements. Mes lèvres toutes légères sur sa peau partent de son visage pour descendre vers son cou. Mes doigts ouvrent deux autres boutons de son corsage et mes lèvres viennent enfin prendre possession de ses petits seins hyper sensible que j’effleure au travers du tissu. Le corps de Pauline se tend à nouveau et ses envies et ses ...