Enfin il était là...
Datte: 28/01/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
préservati,
pénétratio,
ecriv_f,
... que c’était bon. Il me caressait le dos, le haut de mes fesses, pendant que je le suçais… Puis je l’invitai à rejoindre ma chambre… Il enlèva le peu de vêtements qui lui restait sur le corps, et s’allongea sur mon lit à plat ventre. Il m’offrait la vision de son dos encore musclé malgré les kilos qu’il avait pris ces derniers mois. Je me déshabillai également, et le rejoignis sur le lit. J’embrassai ses fesses. Il écarta les cuisses. Je compris où il voulait en venir. De mes mains, je séparai ses deux globes fessiers, et introduis ma langue entre elles. Le contact de ma langue sur son anus eu pour effet de le faire frissonner. Je continuai donc mon exploration, et petit à petit, j’introduisis la pointe de ma langue bien raide dans son anus. Ses gémissements m’incitaient à continuer. Puis, il se retourna, et s’occupa enfin de moi. Je me mis sur le dos, et instinctivement j’écartai les jambes au maximum. Mon sexe réclamait ses doigts, sa bouche. Il ne tarda pas à me lécher, à me titiller le clitoris du bout de sa langue, à me masturber avec ses doigts. C’était bon… mais je ne voulais pas jouir tout de suite. Nous nous allongeames l’un à côté de l’autre, et recommençames a nous embrasser, nous caresser… Puis il me demanda un ...
... préservatif que je lui tendis immédiatement. Et c’est à cet instant qu’il me dit : je vais te prendre en levrette, c’est ça que tu veux ? c’est ça que tu veux ? me répèta-t-il… Je compris. Il allait me pénètrer vaginalement, alors qu’il me l’avait toujours pratiquement refusé, pour des raisons plus ou moins obscures. (nos relations sexuelles se limitaient le plus souvent à des fellations, des cunnilingus, anulingus, masturbations et sodomies). Je me mis donc à quatre pattes au bord du lit, et je le sentis me pénétrer petit à petit. C’était bon de le sentir en moi. Il me lima doucement pour commencer, puis de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je gémissais à chacun de ses coups de buttoir. Sa respiration s’accélérait au fur et à mesure que je sentais son plaisir arriver. Et puis son sexe se fit plus dur dans mon vagin, et je compris que sa jouissance était proche. Il gémit, et s’allongea de tout son long sur mon dos. Je me relevai, l’invitai à caresser mes seins, je l’embrassai, et lui murmurai : "je veux que la prochaine fois, tu jouisses dans ma bouche". Il me sourit… et je fus exaucé apres le dejeuner… Si mon récit vous a plu, peut-être vous raconterais-je la suite… Juste un dernier mot : MON CHER AMOUR, JE T’AIME