1. Vengeance, amour, fidélité. Qui fixe les limites?


    Datte: 29/01/2020, Catégories: fhh, hbi, extracon, Collègues / Travail sauna, humilié(e), vengeance, Oral 69, double, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, confession,

    ... complicité du gardien. Si je ne me retenais pas, j’irais lui casser la gueule. Comment expliquer l’inexplicable ? Comment justifier l’inexcusable ? En tout cas je n’ai pas su trouver les bons mots, les bonnes excuses. Heureusement Jade n’est pas partie. Bien sûr, Philippe et moi avons cessé de nous retrouver. À la maison, c’est service minimum. La plupart du temps elle sort avec ses copines. Moi j’attends. Oui, j’attends que le temps fasse son œuvre et que je puisse lui prouver mon amour. Aujourd’hui, exceptionnellement, elle m’a téléphoné au bureau pour me demander d’être à 19 h précise à la maison. J’ouvre la porte avec le secret espoir de nos retrouvailles. L’entrée est sombre, le salon également, juste une lueur éclaire le couloir. C’est l’éclairage de notre chambre qui diffuse cette clarté par la porte ouverte. Je souris, elle m’attend. Elle m’a pardonné et il n’y a pas de meilleur endroit que notre chambre pour repartir à zéro. Mais mon sourire se fige. Oui, elle est bien là et m’attend. Mais c’est en chevauchant un homme, allongé sur le lit. Elle lui tourne le dos, face à la porte et si mon sourire se transforme en rictus, ses yeux me fixent et me défient. Oh, elle n’a pas besoin de parler. J’ai compris. C’est sa vengeance. Elle se donne à un autre homme, dans notre chambre, dans notre lit. Ostensiblement elle se soulève, libère le sexe, et toujours me fixant, le réintroduit dans sa chatte. Non, je ne peux pas rester pour voir cela même si je mérite cette punition. ...
    ... Je sors en fermant la porte et m’effondre dans un fauteuil. Mais la porte s’ouvre et ma femme s’avance dans le couloir pour vérifier que je suis encore là. J’ai compris, elle veut que je reste. Une voix l’appelle : — Qu’est-ce que tu fais ? Viens. Elle répond : — J’arrive chéri. Alors, pendant deux heures, j’ai dû entendre tout ce qui se passait à quelques mètres de moi. Et Jade s’est employée à m’humilier. Elle, si retenue dans le plaisir, n’a pas arrêté de crier, de gémir, d’encourager son amant. Elle ne supportant pas les mots crus, même dans les moments les plus forts, décrivait tout ce qu’ils faisaient. Jamais je n’avais entendu dans sa bouche des mots comme : « suce-moi le bouton, encule-moi, viens, bourre-moi, plus fort, crache dans ma gorge, mon copain a une petite bite, il ne me fait pas jouir ». Et, pendant que son amant reprenait des forces, elle est passée plusieurs fois devant moi, nue, provocante, des coulures blanchâtres sur le corps, avec ce regard qui me transperce. Enfin ils ont terminé. Ils sortent de la chambre et c’est à cet instant que je reconnais Philippe. Lui aussi tombe des nues. — Pierre, c’est toi… Mais qui… C’est ta femme ? Nous sommes effondrés et Jade se moque en riant : — Ce n’est pas une bonne idée ? Non ? On appelle cela « retour à l’envoyeur ». Je ne suis pas mécontente de ma surprise. Non seulement tu es cocu mais c’est par ton amant. Que dire sans ajouter à ma honte ? Le lendemain, Philippe me raconte comment il s’est fait draguer et que ...
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