Vengeance, amour, fidélité. Qui fixe les limites?
Datte: 29/01/2020,
Catégories:
fhh,
hbi,
extracon,
Collègues / Travail
sauna,
humilié(e),
vengeance,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
attache,
yeuxbandés,
confession,
... dit, parfait esclave de ma femme et de l’homme qui la baise. Puis, pendant une éternité j’ai dû assister à leurs ébats. Elle en voulait toujours plus, organisatrice exigeante et imaginative. Pourtant je ne suis pas sûr que ses cris de jouissance soient bien réels. Je la connais, certains sonnaient faux. La volonté de me punir en m’humiliant était trop présente pour qu’elle se laisse aller. Et puis Philippe a déclaré forfait, épuisé après toutes ces éjaculations. Finalement le grand gagnant de cette soirée, c’est lui. Après son départ, le sommeil ne veut pas venir et je sens que c’est la même chose pour Jade. Oui, nous dormons dans le même lit, dans celui qu’elle utilise pour le sexe. C’est elle qui l’exige. J’imagine que cela fait partie du scénario. Bien sûr, je n’ai pas pu la toucher depuis la découverte de ma faute. Je veux lui parler, faire une nouvelle, la dernière tentative pour que nous recommencions comme avant, enfin essayer au moins. — Jade… … et je parle, parle, m’excuse, lui rappelle combien nous étions heureux, reconnais toute la responsabilité, parle de folie, de pulsion, promets, jure que jamais, plus jamais, etc. Mais, aussi, que je ne peux plus accepter ce qu’elle me fait subir, et je conclus : — Voilà, si tu penses que j’ai tout gâché et que nous n’avons plus d’avenir en commun, alors je partirai. Mais sache que je t’aime et que ces dernières semaines ont encore renforcé mon amour. Elle reste un long moment silencieuse, mais après une interminable attente ...
... je l’entends, dans un murmure, dire. — Ne pars pas. Reste. Je suis si heureux que je vais la prendre dans mes bras, mais elle s’éloigne. Ce n’est pas gagné ! Pas de réels progrès pendant les quinze jours suivants, toujours des échanges réduits au quotidien et bien sûr, pas de sexe. Et puis je reçois ce message. Sans réfléchir, j’ai envoyé le « Oui » demandé. Qu’avais-je à perdre ? J’attends dans la chambre dans mon coin. Bien sûr, je suis nu. À tout hasard j’ai mis du champagne au frais, non pas pour le servir aux amants, mais pour célébrer, peut-être, nos retrouvailles. La porte d’entrée s’ouvre. Deux voix, Jade et encore Philippe. Mais Jade n’est pas comme d’habitude, elle rit fort et je reconnais les intonations qui sont les signes qu’elle est pompette. Pourquoi a-t-elle bu ? Pour se donner du courage ? Mais les autres fois elle était bien à jeun ! Ils entrent dans la chambre. Elle l’embrasse, le déshabille, se déshabille, s’étend sur le lit. Non, cela ne va pas recommencer ? Elle tend le bras vers la table de nuit et sort une sorte de sac en toile que je n’avais jamais remarqué. — Tiens, tout est là, dit Jade. Philippe s’en saisit pendant que ma femme s’allonge. À ma grande surprise, il utilise les liens trouvés dans ce sac pour l’attacher. Pas un mot n’est échangé, juste « ce n’est pas trop serré ? » Enfin la scène est complète lorsqu’il lui bande les yeux. Elle est immobilisée les bras en croix, les fesses au bord du lit et les cuisses écartées par des liens qui partent ...