1. Vengeance, amour, fidélité. Qui fixe les limites?


    Datte: 29/01/2020, Catégories: fhh, hbi, extracon, Collègues / Travail sauna, humilié(e), vengeance, Oral 69, double, Partouze / Groupe attache, yeuxbandés, confession,

    ... importe, le sort en est jeté et je dois tenter ma chance. Je demande à Philippe d’embrasser la poitrine de Jade. Ses tétons sont si gonflés qu’il lui est facile de les prendre dans sa bouche. Alors je fais de même et chaque téton est au chaud dans une bouche. C’est l’instant fatidique. Ma femme ne peut ignorer maintenant que deux hommes sont avec elle. Si je me suis trompé sur ses intentions, elle va hurler ou me chasser d’un mot. Mais rien ne se passe, ou plutôt le sursaut de surprise est immédiatement suivi d’un « oui » d’attente. Nous nous appliquons, sa poitrine se gonfle, elle se soulève malgré ses liens pour nous la présenter. Je me déplace et j’enjambe ma femme pour lui présenter mon sexe à sucer. J’aimerais pouvoir lui demander si elle connaît le propriétaire de la queue que sa bouche accepte de recevoir, mais c’est trop tôt. Je suis si dur et si tendu que malgré ses efforts elle ne peut pas la faire pénétrer mais ses lèvres forment un anneau qui enserre la base de mon gland. Pendant ce temps, Philippe s’est positionné entre ses cuisses et sur un signe, il pousse sa verge dans la fente d’un mouvement brusque. Sous le choc mon gland glisse un peu plus dans la bouche. Cela fait si longtemps que je n’ai pas fait l’amour que quelques va-et-vient suffisent pour me faire éjaculer. Ma femme ne rechigne pas à recevoir ma semence et, alors que son amant continue de la baiser avec ardeur, je viens échanger un baiser comme un signe de reconnaissance et de soumission. Nos ...
    ... langues bataillent et signent la paix. Alors je m’approche de son oreille et chuchote. — Je t’aime. Je veux que tu jouisses par ton amant. Il est gros, il est fort, tu aimes ?— Oh, oui. Pierre, je t’aime. Je le sens, c’est si bon, mon amour. Oui, il… Mais elle ne peut pas continuer, emportée par son plaisir. Juste un feulement, pas de cri. Dommage, j’aimerais bien l’entendre à nouveau hurler et commenter sa jouissance comme elle le faisait pour m’humilier. Philippe peut enfin se laisser aller et je peux imaginer le liquide jaillir. Moi aussi, j’ai connu le plaisir de se sentir inondé et je comprends la sensation que Jade doit ressentir. Il sort son sexe et lâche une dernière giclée sur le pubis, le décorant d’une traînée blanchâtre. Une pause est la bienvenue et je libère ma femme de ses liens pendant que Philippe va chercher à boire. Le symbole n’est pas anodin. Trois adultes trinquent. J’ai retrouvé ma place, je ne suis plus le mari puni et humilié. Jade a conservé son masque et comme je lui propose de l’enlever, elle nous dit. — Non, je le garde. C’est incroyable ce que ce petit bout de tissu peut amplifier les sensations. La soirée n’est pas finie ? Vous êtes déjà fatigués ? Ses mains cherchent nos sexes et ne trouvent que deux petites choses qui reprennent des forces. — Hé, ce n’est pas le moment de faiblir. J’ai besoin de vous pour la suite. Elle veut se pencher pour nous caresser, mais je la force à tourner plusieurs fois sur elle-même pour la désorienter tout en disant : — ...