1. Des conséquences d'une journée de farniente


    Datte: 29/01/2020, Catégories: fh, couple, grossexe, amour, volupté, odeurs, Oral

    Un soir d’hiver, mon homme rentre du travail. Il me trouve emmitouflée dans la couette, couchée sur le canapé. — Oh bonsoir, mon Doudou ! Hum, qu’est-ce que tu es beau, mon chéri… ai-je murmuré, d’une voix suave, en me redressant sur les coudes pour mieux l’admirer.— Mais, oui, bien sûr, après une longue journée de huit heures de travail quasiment non-stop… Tu as raison… Mais je constate que tu n’as rien fait aujourd’hui, la maison est toujours dans un aussi sale état que ce matin, alors que tu ne travaillais pas aujourd’hui ! dit-il, d’un ton faussement sévère. Pourtant, moi, en costume, comme ça, je trouve qu’il dégage une terrible impression de puissance, de force à l’état brut. Mais c’est vrai qu’il s’agit là d’un grand métis aux lèvres aux mains puissantes et si agiles… Quant à moi, je ne suis qu’une petite Antillaise avec un magnifique petit cul et de mignons petits seins en forme de cônes (selon ses dires). A le voir ainsi, je sens des petites palpitations au creux de mon ventre, mais j’y prête peu d’attention. Cela doit venir du fait qu’il m’a manqué plus particulièrement pendant cette journée de farniente. Pour faire la conversation, je le suis alors dans la salle de bain. Je l’observe tandis qu’il se douche et je ne peux m’empêcher d’admirer ces magnifiques fesses, bien fermes. Je sens alors de nouveau les palpitations. Lorsqu’il sort enfin de la douche, j’aperçois son sexe parfaitement épilé (c’est moi qui le lui fait), pendant, comme la queue d’un éléphant ...
    ... encore au repos. On a du mal à croire que cette ridicule petite chose toute fripée puisse devenir aussi monstrueusement énorme. À cette pensée, dans mon cerveau se succède une foule d’images fugaces, où cette chose m’avait retournée. D’un coup, je n’ai plus qu’une seule envie : revoir son énorme queue et la satisfaire. Je me jette à ses pieds pour avaler sans ménagement sa queue et le sucer violemment. Pas mécontent, mon homme grogne un AH!!! de soulagement. Les doigts de ma main gauche viennent se fermer sur la base de son sexe, tandis que je m’efforce d’avaler entièrement sa queue. Je sens alors son sexe se durcir dans ma bouche, hummmm!!! J’adore cette sensation de puissance. Sa bite m’appartient et m’obéit à l’oeil et notamment au doigt. Je la retire de ma bouche pour l’admirer. Elle n’est pas encore totalement opérationnelle, mais durcit de seconde en seconde. Elle est vraiment magnifique, cette longue tige couleur marron chocolat. Son gland, quant à lui, est d’une couleur qui tire entre le rose, le marron clair et le rouge sang. Et puis il y a cette odeur, voluptueuse, capiteuse, dangereusement enivrante, qui me fait perdre mes derniers lambeaux de pudeur. Je la prends à pleine main et me caresse le visage avec. Je sens le plaisir et ce fumet me submerger. Je regarde mon homme, les yeux rougeoyants de désir. Lui me sourit calmement, tout prêt à être mon jouet. Alors, les yeux fermés, je commence à le sucer très doucement, en creusant au maximum mes joues et en faisant durer ...
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