1. Neige


    Datte: 30/01/2020, Catégories: fh, vacances, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, neige,

    ... sentir désiré. Des doigts vifs descendent à présent sur ses cuisses. Il en soupire intérieurement d’aise, sa langue se fait plus vorace dans la bouche de son amante. Pris de fureur possessive, il capture en tenaille les pointes dures des seins volumineux, ses doigts imprègnent la chair qui déborde voluptueusement. Il martyrise les tétons captifs, tournant les petites tours rosées entre ses doigts faméliques. Il la veut, il la désire, il l’aura, encore et encore, à nouveau et toujours. Tout est si simple ! Sa tige dure glisse le long du sillon fessier, il a hâte d’aller s’engouffrer dans cette fente humide et chaude. Elle a compris la manœuvre et elle écarte les fesses pour lui faciliter l’accès, un gland ardent frôle son anus, elle se plaît à penser qu’il entre par là… Peut-être une fraction d’hésitation, il reste à l’orée puis il descend plus bas, s’insinuant aux bords des lèvres intimes et charnues. Bestialement, elle veut qu’il plonge en elle, qu’il la remplisse à ras bord, encore et encore, qu’elle le sente en elle, fort, puissant, brûlant. Elle s’écarte de sa bouche vorace : — Oui… viens ! se surprend-elle à lui dire.— Pas de problème… tu en veux ? Tu l’auras, et plutôt deux fois qu’une !— Que deux fois seulement ?— Gourmande, va ! Et il plonge en elle, un soupir de soulagement et d’aise échappe de ses lèvres rosées, un rugissement de plaisir l’accompagne. Déchaîné, il entre et sort de son vagin humide, elle presse ses mains sur son petit cul ferme pour mieux profiter ...
    ... de ses coups de reins qui plongent en elle. Leurs bouches se rejoignent à nouveau en un baiser dévorant, leurs langues s’emmêlent. Férocement, primitivement, leurs corps s’accordent, son pieu pilonne sa fente en fusion, leurs sueurs se mélangent, leurs saveurs aussi. Des doigts crochus enserrent ses masses volumineuses et fragiles de ses seins, ils pincent fiévreusement leurs pointes érigées et pointues, les distendant sous la traction brutale. Des griffes s’enfoncent sur des fesses légèrement velues, les coups de reins s’accentuent, pilonnent, martèlent son entrée dégoulinante. Elle accompagne furieusement ses moindres mouvements ; non, il n’a jamais encore vécu ce moment de folie, cet égarement à vouloir posséder ainsi, primitivement, sans retenue, dans un si parfait accord. Leurs esprits se vident, disparaissent, ailleurs, loin, très loin. Une onde de chaleur commune se propage en eux, une crispation ultime, une explosion finale. Dans un ultime sursaut, il éclate en elle, jaillissant sans fin, s’écoulant en longues saccades chaudes et poisseuses. Il pousse divers cris rauques, serrant dans un étau broyeur les seins de son amante, expulsant tout ce qu’il a en lui, se désintégrant dans cette femme si charnelle. Cette femme qu’il possède à fond et dont il jouit si fort, égoïstement. Frémissante, elle plonge sa main sous son ventre, à la recherche de son bosquet empoissé. Ses doigts cueillent le sperme chaud qui s’écoule déjà sur les draps, comme si son antre en était trop ...