1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (42)


    Datte: 30/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... amuse-toi, elle est à toi. Doucement elle saisit mon chibre à deux mains et commence de lents vas-et-viens tout en ouvrant la bouche. — Tu vois, c’est naturelle. Avec ta langue maintenant, lèches?!?!! Timidement, elle sort sa langue et va directement jouer avec mon anneau. Hummm, douée la petite. Elle prend de l’assurance et me gobe le gland. Je la laisse faire. Je lui interdis de me quitter du regard. Elle me pompe avec désir et envie. Je bouge mon bassin. Je ne lui infligerai pas la gorge-profonde, pas maintenant. De temps en temps, je sens ses dents. Je ne lui dis rien. Elle accélère le mouvement de ses mains, de sa bouche. Je vais venir, alors je la bloque sur ma bite et décharge dans sa bouche. Ses joues gonflent, du sperme est expulsé par ses narines. Elle est belle ainsi souillée. Je la relève et l’embrasse. Elle s’étonne de mon geste. Je lui dis que c’est normal, que l’on partage tout. Elle me sourit. Je la fais mettre à quatre pattes. Elle me regarde avec peur. — C’est gros, me dit-elle, ça ne rentrera pas. — Ne t’inquiètes pas, je vais y aller doucement. Ne craints rien. Je m’agenouille derrière elle et commence à la renifler, la sentir. Elle peut se voir dans l’immense miroir. Elle est inquiète mais ne dit rien. Je passe sur son flanc. Je lui gobe ses petits tétons. Elle ferme les yeux. "CLAC", une petite fessée sur sa fesse. Je continus en faisant le tour de ma proie. Je l’embrasse, lui lèche son visage. Elle ouvre la bouche pour soupirer d’extase. Je lève une ...
    ... jambe et lui fait goûter à mon pré-sperme. Hésitante au début, elle finit par accepter mon offrande. Elle s’en délecte, même. Je poursuis mon travail de sape, m’allongeant sous elle pour avec accès à son petit abricot glabre (merci Gladys). Je rampe avant de me positionner sur son dos. Elle grimace en se forçant à me supporter. — Gény, tu vas devenir ma chienne, ma salope... — Hummm, me répond-elle. Je donne des coups de bassin dans le vide, ce qui a pour effet de caresser son clitoris. Elle me regarde avec envie, avec amour. Je lui pince ses tétons. Elle part en transe. C’est le moment que je choisis pour l’enficher. Mon gland rentre avec une certaine résistance. Que c’est bon, une petite chatte serrée. Elle me rappelle celle de Théna. Je me retire. Elle me regarde suppliante. Je la pénètre en forçant l’accès, lentement, avec douceur. J’y vais jusqu’à la garde, jusqu’à ce que mes couilles viennent buter sur son bouton d’amour. — Tu es mienne... Je te fais mienne. — C’est, tu es trop bon... Bonne... Vanessa... Je ressors presque entièrement, laissant mon gland bien au chaud. Elle se mord les lèvres. — Lâche-toi, jouis si tu veux, je vais te faire décoller. À ces mots, c’est moi qui me lâche. J’y vais gaillardement. Elle s’affaisse sur ses avants-bras. Je ne me retiens plus, elle non plus. Poussant des "Han", des "Ho" non retenus. Je la prends par les hanches et la ramone à un rythme fou. Elle jouit en permanence. Je suis fière de moi, fière d’elle. Il ne lui a pas fallut ...