1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 617)


    Datte: 31/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°616) - La perversité urophile des Princes Arabes - Les Princes arabes, assis en tailleur, autour de cette table basse tenue en appui sur le dos de soumis Endymion MDE, s’étaient remis à fumer le narguilé, tout en dégustant le thé brulant et en dialoguant bruyamment. Le jeune soumis Mourad se tenait près d’eux, à deux ou trois pas en retrait et s’occupait de remplir les tasses à chaque fois que l’une d’entre elle était vide. Il gardait toujours la tête baissée. Parfois, une main baladeuse passait sous sa djellaba pour lui caresser les fesses ou lui saisir les couilles. Alors, dans la posture où il se trouvait, impassiblement et instantanément, il se laissait toucher et palper sans rien dire jusqu’à ce que cette main le libère de cette catalepsie contraignante. Sur un ordre qui lui fut donné par l’Emir, il s’éclipsa un temps puis revint avec sept verres disposés sur un plateau d’argent. Il les déposa sur cette table basse « humaine », puis alluma des bâtonnets d’encens qu’il laissa ici ou là. L’oliban se consumait, apportant une forme d’apaisement intérieur, de sérénité et de bien-être. Cette odeur capiteuse de patchouli, semblait être l’occasion d’un petit rituel. Les protagonistes s’étaient tus, et se concentraient sur cette odeur et ces fumées comme s’ils voulaient se recentrer sur eux-mêmes. Ils écoutaient presque religieusement le premier mouvement de Shéhérazade de Ravel, absolument sublime donnant des ...
    ... frissons de plaisir à soumis Endymion MDE. De sorte que lui, l’esclave de Monsieur le Marquis d’Evans en avait oublié son lourd fardeau sur le dos, l’ignominie de sa posture dégradante, sa semi nudité. Il se laissait envahir par ces sonorités orientales et se laissait porter par ces délices enivrants, étourdissants mais néanmoins exaltants ! A tel point qu’à peine réagissait-il lorsqu’un doigt glissa sur sa raie, récoltant du foutre s’échappant de son anus, doigt qui le pénétra ensuite pour réintroduire cette intime semence au plus profond de ses entrailles. Ce n’était que lorsque des mains s’agrippant à ses lobes fessiers et les écartant au maximum qu’il sortit de cette forme de somnolence. Il réalisa qu’un gode plus épais que long était poussé en lui, ouvrant son intimité pour glisser entre ses chairs. Il retint ses gémissements pour ne pas perturber ceux encore écoutant béatement cette musique. La musique s’était arrêtée depuis cinq minutes déjà, mais tous restaient encore silencieux, ce ne fut que lorsque l’Emir frappa à trois reprises dans ces mains que l’effervescence reprit. Soudainement la plaque de verre posée sur le dos de soumis Endymion MDE, fut débarrassée puis soulevée et retirée. On fit se lever l’esclave MDE et on lui ôta définitivement ces vêtements déchirés, ainsi que son harnais. En un instant il se retrouva debout et nu comme un verre. Mourad lui enfila une djellaba à l’identique de celle qu’il portait, puis l’attrapa par une main et le conduisit dans une pièce ...
«1234»