Sous son joug
Datte: 31/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... totalement prise dans mon rôle de soumise. Le bruit d’un SMS reçu sur mon téléphone, posé sur la première marche de l’escalier, déchira l’atmosphère. Son contenu était court : « commences à te goder et tu as intérêt à jouir quand j’arriverai ». Je n’avais aucune idée du temps qu’il allait mettre pour arriver et déjà j’appréhendais de le décevoir, j’étais très sensible à mon gode et je savais qu’il me fallait 3 à 4 minutes pour jouir puissamment de façon clitoridienne en le mettant sur mode vibreur. Je décidais d’attendre un peu avant de mettre en place cette fonction et je l’introduisis doucement dans mon sexe, le crochet anal étant déjà en place dans mon cul. Je faisais des va et viens et je sentais le plaisir monter en moi, c’était comme de douces vagues qui roulaient dans mon bas ventre, des petits picotements parcouraient mon corps…que de sensations agréables ! J’aimais ces moments de calme et volupté avant la tempête. Après quelques minutes je mis en route la fonction vibrations, mon clitoris se mit en effervescence : il gonflait au fur et à mesure, je sentais monter en moi des décharges de plaisir…soudain j’entendis le bruit de notre portail électrique : il était là ! Je n’allais pas avoir le temps de monter jusqu’à faire éclater mon orgasme. Cependant, le sentant arriver m’exciter davantage encore, je sentais mon sexe couler abondamment sur la dalle, une énorme flaque se répandait sous moi. Il ouvrit le garage, le referma calmement et vint vers moi, malgré la ...
... puissance maximum que je venais de mettre sur mon gode, je n’atteignais pas encore l’orgasme, il attendait derrière mot sans un bruit en se caressant l’entre jambe. Il me demanda soudain d’arrêter mon gode et tira sur ma laisse vigoureusement en disant : « tu n’as pas encore joui ma petite salope, c’est pas bien je vais être obligé de te corriger copieusement…. ». Puis, il tira sur ma laisse et m’obligea à monter les escaliers à quatre pattes comme la chienne que j’étais. Mon crochet anal que j’avais attaché à mon collier me rentrait puissamment dans mon cul à chacun de mes mouvements et me provoquait des spasmes entre douleur et jouissance. Je voyais à son regard qu’il aimait cela et que cela l’excitait au plus au point, son sexe gonflait sous son jean et formait une bosse très visible. Arrivés dans notre salon il prit la laisse et l’attacha au radiateur. Il partit chercher un ceinturon et un martinet tout en cuir, un cadeau qu’il s’était fait en sortant d’un club SM. Il m’arracha littéralement ma guêpière plutôt qu’il ne l’enleva. Il commença par me mettre d’énormes fessées qui me marquèrent les fesses instantanément tellement elles étaient puissantes, cela me piquait mais j’étais terriblement excitée. Il me lia les mains puis se mit à me donner des coups de ceinturon sur le dos, sur les seins, cela m’arrachait des cris sourds entre souffrance et plaisir…je ne devais pas assez m’exprimer car il passa au martinet en me criant qu’il ne m’entendait pas …je devais gueuler mon envie ...