Une journée mémorable
Datte: 01/02/2020,
Catégories:
fh,
cinéma,
amour,
jalousie,
Oral
pénétratio,
amourpass,
... tout le corps, partant de la bouche, il passe par le cou, s’attarde su les seins qu’il tète et mordille même. Il poursuit par le ventre, avant d’escalader le mont de Vénus et d’arriver à sa féminité. Marie apprécie hautement ce parcours. Quand il arrive enfin à son sexe, elle plie les genoux et écarte les cuisses pour lui offrir le meilleur accès à ses trésors intimes. Il en profite. Sa langue parcourt les lèvres, s’insinue, débusque le bouton magique. Il le suce, enfonce sa langue, revient titiller le clito. Il persévère longuement. Marie plane, son bassin s’anime d’une vie propre. Elle frissonne, a des contractions et brusquement c’est l’explosion. Elle ne peut étouffer un cri. Elle est comme abasourdie. Jamais elle n’avait pris du plaisir avec une telle intensité quand elle se caressait. Bernard qui a été repoussé par les soubresauts la regarde jouir. Quand haletante, elle reprend ses esprits après une bonne minute, elle se redresse pour un baiser enflammé où elle goûte sa propre liqueur. Elle attire Bernard sur elle en disant : — Prends-moi. Avant d’ajouter dans un murmure : — Tu es le premier. Il ne s’attendait pas à cet aveu. Il n’imaginait pas qu’une aussi belle fille n’ait jamais eu de galant, avant de réaliser que le Petit bouchon, tout à son amour contrarié, ne regardait pas les autres hommes, les ignorait et même devait les repousser, car il est peu vraisemblable qu’aucun garçon ne se soit intéressé à cette magnifique jeune fille. C’est avec beaucoup de ...
... douceur qu’il entreprend de la pénétrer. Bien que Marie soit visiblement impatiente, il prend son temps. Il promène son gland sur les lèvres longuement, avant de l’introduire dans la fente lentement. Il s’enfonce un peu, recule, revient un peu plus loin, recommence encore et encore, avant de s’abîmer au plus profond de l’intimité offerte. Elle tressaille légèrement en ressentant une légère gêne, ce qui ne l’empêche pas de refermer bras et jambes autour de celui qui vient de la faire femme et s’active en elle. Toute incommodité disparaît rapidement, Marie sent le plaisir monter, accru par l’exaltation d’être dans les bras de son amour et que celui-ci soit en elle après ces longues années à se languir. Elle ne reste pas inerte, elle palpite sous le tendre assaut. Elle a une série de spasmes qui finissent en apothéose quand elle sent Bernard se répandre en elle. Il vient s’allonger à côté d’elle, c’est alors seulement qu’il pense, un peu tard, au préservatif. Il n’a même pas songé à en acheter. C’est nul. Bon, dans le cas présent, pas de danger. Lui n’a pas eu de conduite à risque et Marie encore moins. Celle-ci s’étire en souriant. Ils s’embrassent et échangent des mots tendres. Elle saisit le sexe et Bernard lui fait un petit bisou, avant de la gober pour une fellation persuasive, ignorant les sécrétions qui le maculent. Quand Bernard a repris toute sa raideur, elle se redresse et lui dit d’un petit air mutin : — J’étais vierge, mais pas ingénue.— Je vois l’influence corruptrice ...