1. Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise (3)


    Datte: 01/02/2020, Catégories: Hétéro

    ... parti. Je me suis manifestement trompé. Raconta-t-il avec un air faussement coupable sachant pertinemment que c’était le but recherché. — Et vous avez trouvé une solution ? Demanda-t-elle inquiète. — Oui. Au départ Cécile avait arrêté de prendre cette crème. Et puis finalement elle a repris car cette sensation de plénitude qu’elle ressentait lui manquait. En plus son boulot la stressait terriblement. C’est pour ça qu’elle a repris car elle avait des vertus apaisantes et déstressantes. — En fait c’est une drogue ? — Absolument pas. Regarde mieux, ici on peut lire « agréé par le ministère de la santé ». En plus il y a la liste des composants et les coordonnées du fabricant. Si c’était une drogue, elle ne serait pas en vente et aussi accessible. Non c’est une crème de jour avec des propriétés relaxantes tout ce qu’il y a de plus légale. — Et donc ? La solution que vous avez trouvée ? — Vois-tu, j’adore les produits laitiers. Lui dit-il avec un large sourire et en rapprochant son visage de celui de son employé. — Vous voulez dire que … — Oui je lui tétais les seins. Et si tu veux, je peux en faire de même pour toi. Ça soulageait la douleur des mamelons en libérant la pression selon Cécile. Elle aimait ça et Elle avait l’impression que j’étais comme son gros bébé. En plus ça l’a préparé pour Oscar qui a pris le relai ensuite. Alors ? Tu veux essayer ? Sous couvert de vouloir la soulager et la préparer pour les enfants qu’elle aurait plus tard, Jean-Luc comptait bien retrouver les ...
    ... petits plaisirs qu’il avait perdu au décès de sa femme. Sharon se retrouvait donc avec son patron lui tétant les seins, l’un après l’autre, et il disait vrai. Après une petite douleur au début elle sentait que ça la soulageait. Quand Jean-Luc s’arrêta, il s’essuya la bouche. Puis il saisit la nuque de Sharon d’une main pour rapprocher son visage du sien. Une fois leur deux visages à quelques centimètres l’un de l’autre, Jean-Luc lâcha un « Tu me plais vraiment » avant de l’embrasser goulument. D’abord surprise, Sharon se laissa faire. C’était la première fois qu’on l’embrassait de la sorte. La présence de la langue de son patron dans sa bouche l’embarrassait mais elle ne protesta pas et ne ressentait pas l’envie de le faire. Après ce fougueux baiser, Jean-Luc voulu passer à l’étape suivante, vu qu’elle ne semblait pas contre. — Bien ! Je constate que ça à l’air de te plaire ? Dit-il en restant à quelques centimètres de Sharon — C’est que … — Ne me ment pas. Si ça t’avait vraiment déplu, tu m’aurais dit « non », n’est-ce pas ? Tu as envie d’en savoir plus sur le sexe, hein ? D’expérimenter de nouvelles choses ? Demanda-t-il avec un sourire satisfait et en lui caressant les cuisses. — Bah …. Euh …. — Bon … passons aux choses sérieuses. Dit-il en la soulevant pour la faire s’assoir sur son bureau puis en glissant ses mains sous la jupe de la jeune fille. — Mais que faites-vous ? S’exclama-t-elle en sentant les mains de son patron s’immiscer plus loin sous sa jupe. — Je retire ta ...
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