Ma tante, une pute en devenir (9) - Histoires de Sexe

Ma tante, une pute en devenir (9)

... n’étaient rien comparés à ce gang bang. Plus de 150 gars étaient venu se vider sur nos salopes, certains seulement une, d’autres sur les trois. Sandrine était celle qui en avait vidé le plus, quasiment 120 types étaient venus se vider sur elle. Marion elle avait eu droit à 80 hommes et Julie, elle n’avait eu droit qu’à 70 lascars. Toutes les trois étaient remplies, exténuées et souillées. Le visage, les seins, le cul et tout leur corps recouvert de foutre, sec ou encore frais. - C’EST DANS LA BOÎTE ! cria Serge alors que les trois hommes faisaient un dernier gros plan sur les visages souillés des trois femmes. Merci pour ces images, je crois qu’on va faire exploser le record du site. - Bonne nouvelle. Alors, elles étaient bonnes nos petites putes, répondis-je - Je crois qu’elle pourrait en faire leur métier ces salopes, elles aiment la bite ça se voit, dit Vincent. - J’espère qu’on pourra voir le film avant tout le monde, pas vrai les gars ? demanda Romain. - Evidemment, dans deux petites semaines, je pense que le film sera prêt et on vous l’enverra ...

... en exclusivité, assura Serge. - Merci beaucoup, et à bientôt j’espère, leur dis-je en leur serrant la main. Romain et moi regardions Sandrine, Marion et Julie. Nous étions heureux mais surpris de ce que nous venions de faire. Julie, une jeune femme toute timide et pas du tout portée sur le sexe, venait de se prendre pour la première fois deux bites dans le cul. Marion, une inconnue il y a quelques mois, était devenue une cochonne qui aimait le sexe. Et Sandrine … Que dire de ma tante, une épouse parfaite, bien rangée et un peu bourgeoise. Elle s’était faite baisée par son neveu, qui lui fit découvrir le plaisir anal, mais également qu’elle pouvait se faire prendre par le cul et la chatte en même temps. Et surtout son voisin l’avait également baisée et l’avait fistée. Mais surtout elle s’était faite prendre en gang bang deux fois et aujourd’hui demandait des bites dès qu’elle le pouvait. Ces trois femmes était donc devenues avides de sexe et venait de se faire prendre par plus de cents inconnus dans un gang bang qu’elle n’aurait jamais fait sans nous.