1. 7 - Le cul en deux...


    Datte: 20/09/2017, Catégories: hhh, hbi, hplusag, jeunes, grossexe, Oral hdanus, hsodo,

    Résumé des épisodes précédent :Depuis quelques semaines, j’entretiens une relation sexuelle très osmotique avec Patrick, un quadragénaire hypermembré. Lors d’une virée nocturne, à peine à l’écart de la ville, garé sur un parking, nous avons vécu des ébats plus que rythmés. _____________________________________________ Patrick n’avait pas eu à insister longtemps au téléphone : — J’ai vraiment envie que tu viennes demain soir, ça me ferait vraiment très plaisir de passer une bonne soirée. Bon, pas que tu me manques à ce point-là, mais… j’ai besoin de sexe, et ça, c’est ton rayon. Allez, tu sais que tu es mon anti-stress, tu t’occupes si bien de moi ! Au fond de toi, je sais que tu ne peux me refuser d’accéder au plaisir. En effet, comment refuser devant de telles paroles. Complices, c’est un bien faible mot. Une clef et sa serrure, c’est un peu comme cela que je vois notre « relation ». Nous pouvons passer largement une semaine sans nous voir (mon petit cul aussi, par ailleurs), et puis deux jours ensemble, à baiser comme deux insatiables. Là, il abesoin : j’irai donc demain. Je finis cette soirée en m’épilant soigneusement tout l’entrejambe, de l’anus au pubis. J’aime ce côté lisse, lui aussi. Et puis le côté pratique : comme presque à chaque rencontre il jouit en moi, c’est beaucoup plus simple de rester propre, pas d’odeur. Mon anus ressemble à un hall de gare après son passage, sa semence n’arrête pas de s’écouler. Et demain, juste après le taf, il ne me restera plus qu’à ...
    ... m’administrer un lavement bien tiède pour ne pas avoir de désagréments. — Entre vite, on t’attend depuis un bon moment ! s’exclame-t-il en me claquant une bise sur la joue.— On ? réponds-je étonné. En arrivant dans le salon, je constate qu’un jeune homme est assis dans le canapé. Alors que cette personne se lève pour me serrer la main, Patrick nous présente. Je m’assois en face de ce charmant jeune homme pendant que Pat me sert le traditionnel whisky. Tout naturellement, la conversation s’engage. Il s’agit de Franck, trente ans, commercial dans la grande distribution. Plutôt musclé, il est vêtu d’un jean, de Converses. Des manches courtes de sa chemise à carreaux s’échappent des bras assez noueux. Un regard franc, une barbe taillée style « 4/5 jours » qui lui donne un air un peu plus dur. Son visage est un peu anguleux, à la Javier Bardem, cet acteur hispanique très viril, le rend… séduisant, le piège à fille parfait. Je ne suis pas au bout de mon étonnement : lorsque je demande s’ils se connaissent depuis longtemps, le piège à fille prend la parole : — Par téléphone, deux jours, sinon, un peu plus d’une demi-heure ! Je manque de m’étrangler en avalant ma gorgée. C’est alors que Patrick, devant mon étonnement, m’explique comment il a procédé pour contacter ce jeune homme. Je lui ai à maintes reprises évoqué mon désir d’avoir un deuxièmesexe viril à disposition lors de nos ébats. En effet, malgré la très puissante performance de « mon mec », lorsqu’il décharge entre mes reins – ...
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