1. Le compromis


    Datte: 02/02/2020, Catégories: h, fh, extracon, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral fsodo,

    Devant son silence, je me lève prends la cassette et la remets dans le magnétoscope. Les images défilent. Elle est maintenant nue à l’écran. — Je ne voulais pas te faire de la peine, je te le jure, murmure t’elle. Puis elle retourne dans son mutisme tout en me regardant de ses grands yeux tristes. J’explose alors de colère, essayant de la rabaisser et de définir son attitude par des mots vulgaires. Elle ne dit toujours rien, à cet instant les mots me sont inutiles de toutes façons. Je ne sais pas ce que je veux vraiment. Tout est si confus. Finalement l’émotion l’emporte, je m’écroule sur notre canapé. Je sanglote. Des bribes de phrases sortent de ma bouche. Confusément je lui demande pourquoi ? Si je lui ai fait du mal ? Que je ne le mérite pas. Elle s’assoit alors à côté de moi, et d’une extrême douceur m’enlace. Elle me caresse les cheveux. Nous restons ainsi un certain temps. La cassette défile toujours. Les cris de jouissance de ma douce Sophie emplissent la pièce. Malgré le chagrin, mon corps me trahit. Mon sexe irrésistiblement durcit. Sophie s’en aperçoit. Alors toujours avec délicatesse, elle le libère. Elle imprime de lents va-et-vient. J’ai la tête nichée dans son cou, je suis bien. Elle hurle de plus en plus fort à l’écran. Je sens la jouissance monter, je gémis à mon tour. Elle accélère légèrement le rythme et de longs jets souillent sa main et mon bas ventre. Elle continue son mouvement un instant et arrête. Nous restons ainsi, sans rien ajouter un long moment. ...
    ... Lorsque je me décide à me lever, l’écran de télévision est noir. Je sens son regard dans mon dos. Je suis honteux de ma faiblesse. Je quitte la pièce, et m’enferme dans notre chambre. Je m’étends sur le lit et finis par m’endormir. Je me réveille, il est très tôt. Sophie dort à mes côtés. Je la regarde, jamais je ne l’ai trouvée si belle. Ses longs cheveux lisses et noirs sont étalés un peu partout. Je la contemple un moment, et me dirige sans faire de bruit vers notre salle de bain. Je n’ai pas le courage de l’affronter maintenant. Je veux m’enfuir avant qu’elle se réveille. En hâte je quitte notre domicile, et bien qu’en avance, me dirige vers mon bureau. La journée est une torture j’appréhende le moment de notre confrontation. Je rentre à la maison, elle n’est pas encore là. Fébrilement je l’attends. Je bois un verre pour me redonner contenance. 17h45, la porte s’ouvre, je suis assis, tétanisé. Elle entre, me regarde et me sourit, visiblement l’air soulagé de me voir. Elle m’embrasse et s’assoit en face de moi. Plus que la tension, la gêne est palpable. Chacun de nous à des choses à dire. Mais chacun se tait, cherchant le bon angle d’attaque. Sophie brise le silence la première. Elle raconte tout, toutes ses frasques depuis un an. Tout a commencé par jeu sur Internet. Comment des conversations anodines, devinrent plus précises. Comment elle se prit au jeu. Un homme, Paul fut le détonateur, après plusieurs semaines de correspondances plus ou moins érotiques, ils décidèrent ...
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