1. Quand la chaire s’éveille.


    Datte: 03/02/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    Quand la chaire s’éveille.Madame la baronne Éléonora Dupalkiri, de vieille noblesse espagnole avait épousé le baron Dupalkiri, noblesse d’Empire à l’âge de 16 ans et tout de suite elle fut mise enceinte et peu après, le baron ravalât son acte de naissance. Elle éleva son fils toute seule, mais la fortune de la famille était suffisante et elle tenait les affaires de son mari d’une main de fer.À son service, il y a Jean, chauffeur et cuisinier, garde du corps et homme à tout faire et Jeanine, la gouvernante. Lors d’un déplacement pour les affaires de son ex-mari, Éléonora fut exposée à une situation délicate avec des truands qui en voulaient à sa personne. À cette occasion, Jean, qui entre autres était un adepte des arts martiaux, lui sauvât la mise, voir peut-être la vie. Le soir même, mélangeant les torchons et les serviettes, encore toute émotionnée, Éléonora l’invita dans son lit et depuis, il ne la quitta plus. Un mariage était exclu, mais, de sentir la force virile de Jean lui suffisait pour son bonheur.Son fils Ramon, de manière très républicaine suivait l’école laïque, c’était un très bel adolescent qui arrivait sur ses 18 ans et l’an prochain, il devait rentrer à l’université de Loup vins. (spécialisée dans les jeux de mots stupides) Jean l’avait aussi formé aux arts martiaux et même parfois il dépassait le professeur.Une affaire urgente appelant ses compétences au Japon, Éléonora, en compagnie de son garde du corps, demanda à son amie Luce de Joliharnais de la ...
    ... remplacer auprès de Ramon. La dite Luce était une rousse flamboyante bien pourvue par la nature, à la différence d’Éléonora qui était toute en finesse.– Voilà Luce mon amie, je te confie à ses bons soins. Je ne sais exactement quand je vais rentrer du Japon, mais cela devrait être dans deux semaines environ, je prends Jean avec moi, car lui connaît mieux que moi les habitudes des japonnais, ayant pratiqué le judo jusqu’à la ceinture noire.– Mais Maman, moi aussi j’ai le niveau de la ceinture noire, tu ne veux pas que ce soit moi qui t’accompagne.– Non, j’ai décidé comme cela, et à priori, tu ne connais pas le japonnais à ma connaissance.Le lendemain, l’hispano-suiza emmenait Éléonora et Jean vers le Japon, après que les présentations furent faites. Dans l’après midi, Luce proposa à Ramon de faire une promenade dans le parc qui était autour de la maison. Maison qui ressemblait plus à un petit palais qu’à une maison de maître.Voyant Ramon, emmitouflé dans un pantalon d’hiver et pull-over de laine, par cette chaude matinée de mai, Luce ne put s’empêcher de lui recommander d’alléger sa tenue. Finalement elle lui choisit une culotte de sport et un petit chandail léger, ils prirent également avec eux un petit en-cas.Après un quart d’heure de promenade à travers les bois de pin, ils trouvèrent un petit taillis, particulièrement discret où Luce proposa de s’arrêter pour utiliser l’en-cas emporté.– Dis-moi Ramon, tu fais beaucoup de sport ?– Oh! Oui, avec Jean, Maman a exigé que je ...
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