Les aventures sexuelles débridées de Patrick. (1)
Datte: 03/02/2020,
Catégories:
Hétéro
... vigoureusement le mandrin tout en suçant l’extrémité, faisant tourner ma langue autour du gland, l’arrosant de salive. Je suis comme une folle et pendant 10 minutes je l’astique de toutes les manières que je connais. jgqjoomv Sa respiration s’accélère. Il va jouir ! Soudain les paroles de ma sœur me reviennent sur les performances de Patrick. Non pas dans ma bouche, ce n’est pas possible ! Je ne pourrai pas supporter la dose qu’il va m’envoyer. Comment avaler son volume de foutre ? Il faut que je m’arrache de sa queue monstrueuse. Affolée, je l’entends crier : — Ça va partir! Il me repousse pour retirer précipitamment sa bite de ma bouche. Le bout est gros, si gonflé qu’il a du mal à ressortir. Il halète maintenant, je sens les pulsations de son chibre me battre les lèvres quand il se retire. Et brusquement, je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, mes deux mains attrapent sa queue, j’ouvre grand ma bouche, j’enfonce tout jusqu’au fond, jusque dans ma gorge au moment où le premier jet part. Il me remplit, j’ai l’impression de suffoquer, je ne peux pas tout avaler et me retire un peu. Aussitôt arrive la suite, encore plus copieuse que la première, un jus épais et crémeux, les jets sans fin se succèdent, le foutre remplit le peu de place libre laissé par son membre dans ma bouche et qui me distend les lèvres, coule sur mon visage, liquide gras et blanchâtre qui reste autour de mes lèvres et qui descend lentement en filets dans mon cou. Tout mon ventre n’est que pulsations ...
... et tremblements. Maintenant, je commence à goûter son sperme, un peu salé, mais onctueux et agréable. Des deux mains, je pompe la queue pour faire monter les dernières gouttes, je tourne encore ma langue autant que je le peux autour de la queue pour tout lécher jusqu’au bout, pour ne rien perdre de ce liquide. Puis, c’est avec regret que je sors la verge de ma bouche, et je la couvre encore de baisers avant de la relâcher. Et c’est alors que je jouis. Une jouissance d’une force exceptionnelle, unique, jamais ressentie. -Putain Murielle, tu es la première femme que je fais jouir sans même l’avoir baisée !!! Ta sœur avait raison, tu es une sacrée chaudasse !!! Un cri monte du fond de mon ventre, des décharges électriques me traversent et j’ai une jouissance phénoménale, je ne tiens plus sur mes jambes. Patrick s’assied sur le banc et me tire vers lui, ma chatte à l’aplomb de sa bite toujours aussi raide, il écarte d’une main ma culotte. Malgré se qu’il vient de décharger, il bande toujours comme un taureau. Son gland écarte mes lèvres, repousse mes parois intimes, passe un premier obstacle de chair. Il pénètre, doucement. Gros comme il est, Patrick doit savoir qu’il lui faut de la douceur. Mais il doit aussi sentir qu’il ne rencontre aucune résistance, bien au contraire. Je suis béante et ressens son entrée. Je suis la plus réceptive possible. Je baisse mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement de ce pal de chair. Je me sens comblée, remplie et pourtant d’après ce que je ...