Le bus
Datte: 03/02/2020,
Catégories:
fh,
cocus,
hotel,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
... qu’il m’entraîne avec Paul qui nous suit. L’escalier est étroit, sombre. La chambre est intime, lumière tamisée, manifestement faite pour les rencontres adultères. Un lit ! Lit assez grand pour qu’un couple puisse s’ébattre librement. Une table contre un mur, un fauteuil contigu. D’un geste, Serge montre le siège à Paul. On dirait une ouvreuse qui montre sa place à un spectateur. Moi je suis comme prisonnière. Pas de menottes, pas de liens, juste une main qui tient la mienne, et surtout une volonté qui supplante la mienne. Cela ne me ressemble pas, mais elle est la convergence de celle de Paul qui a exprimé le vœu de me voir avec un autre et de celle de Serge qui a clairement pris les choses en main. La pièce n’est pas si grande, et alors que Serge me prend dans ses bras, Paul doit lever la tête pour nous voir échanger un baiser. Un baiser qui me tourmente. Serge m’a déjà embrassée plus fougueusement sur la piste de danse, mais ici c’est sous le regard de mon mari, et même la douce pénombre ne peut cacher ce reflet dans ses yeux. Nos regards se croisent mais je ne peux soutenir le sien. Je me sens coupable. Coupable, et pourtant je ne fais que céder à ces deux hommes. L’un qui me confie à l’autre, lui donnant tout pouvoir sur son épouse. L’autre qui, comme si c’était naturel, m’embrasse et me câline. Coupable car je ne fais rien contre ce projet alors qu’il suffirait d’un mot, d’un geste pour briser cette complicité. Mais coupable, ô combien, car si je n’ai pas vraiment ...
... imaginé me retrouver ici, je dois reconnaître que pendant tous ces jours je n’ai cessé de revivre cette scène de ma jeunesse et regarder plusieurs fois le blog de cet homme. Tout cela me procurait une tension que Paul n’arrivait pas totalement à dissiper, me laissant m’endormir heureuse mais avec des rêves peuplés de scènes érotiques. Et me voici enveloppée de bras puissants contre un corps que je sens viril, sous le regard de mon mari. Mais Serge a repris son exploration entamée pendant la danse pour qu’il puisse me caresser. Paul est aux premières loges et ses yeux sont attirés par ces mains qui me dénudent, qui enveloppent mes fesses, qui me pressent contre cet homme dont la virilité est rayonnante. Je suis gênée mais fière. Fière de ce que je déclenche chez Serge, amant expérimenté et qui pourtant bande de mon simple contact. L’homme sait-il que mon pubis se porte au-devant de lui ? Je me sens emportée, transportée par cette ambiance si particulière alors que nous ne sommes encore coupables que de caresses appuyées. Mais on me soulève. Ses mains puissantes forment un siège qui me porte et me dépose sur cette table qui cogne contre le mur. J’abandonne la chaleur et la douceur de paumes pour la rudesse et la fraîcheur d’une table de bois. Je suis assise, jambes pendantes, mon intimité dénudée par le tissu de cette robe qui se chiffonne sur mon ventre. Serge doit avoir envie de plus car rapidement il trouve les quelques boutons qu’il détache avec empressement et dextérité. Je ...