1. Le bus


    Datte: 03/02/2020, Catégories: fh, cocus, hotel, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession,

    ... cuisses s’ouvrent encore plus pour que sa tête y trouve sa place. Il fait durer le plaisir en embrassant l’intérieur de mes cuisses, sautant de l’une à l’autre avec une perversité redoutable. — Ohhh ! Je ne peux retenir ce petit cri que mes lèvres expulsent dans un soupir de bonheur alors que d’autres lèvres viennent de me toucher au plus intime. Sa bouche est brûlante, sa langue chaude et agile qui fraie son chemin dans une fente de chair déjà conquise. — Elle est toute humide ! C’est Serge, s’adressant à mon mari qui est aux premières loges, dans ce fauteuil dont il a quitté le confort pour se tourner vers nous. Paroles à la fois rassurantes et pleines de promesses. Rassurantes car si je mouille, cela conforte mon mari dans son fantasme en montrant que moi aussi cela m’excite. Pleine de promesses : oh que oui, alors que l’homme a repris ses caresses en extirpant mon petit bouton de sa protection pour l’aspirer le sucer, l’étirer. C’est un délice ! — Ouiii, comme ça. Serge n’a pourtant pas besoin de conseils pour me caresser. Il sait aller au-devant de mon désir, alternant longues caresses de mon clito avec des baisers sur ma chatte, une langue vicieuse qui va jusqu’à mon petit trou qui s’est découvert lorsque l’homme a mis mes jambes sur ses épaules. — Ahhh… Deux mains se sont saisies de mes seins. Elles en prennent possession, les enveloppent, les caressent, et bientôt ce sont mes tétons qui se retrouvent prisonniers de doigts qui jouent avec. C’est bon. Très bon. ...
    ... Inconfortable, le dos frottant contre le mur, les fesses se râpant sur le bois grossier. Je me fais l’effet d’une servante que le maître lutine discrètement. Pourtant, mon vrai maître est là, si près que je peux attraper sa main et la presser pour lui transmettre tout le plaisir que mon amant me procure. Un plaisir qui monte, monte alors que mes tétons martyrisés déclenchent des ondes délicieuses et que mon autre bouton se gonfle encore. — Aïe ! C’est Paul qui proteste alors que mes ongles lui labourent la main. Le plaisir est là. Il monte, monte et se libère. Je me sens parfaitement couler et mon amant est aux premières loges pour recueillir ma liqueur dont il est responsable. Il me laisse à peine reprendre mon souffle que déjà il s’est redressé et que je le vois à travers mes cils collés de sueur se couvrir d’une capote. Ma chatte est à lui, ouverte, grasse de sa salive avec mon plaisir, et son mandrin s’y glisse avec envie. Il est en moi. En deux secondes cet homme m’a prise devant mon mari, mais ni lui ni – surtout – moi ne protestons. Je le sens conquérant, dur, envahissant. Il me remplit. C’est drôle, j’ai toujours trouvé cette expression vulgaire mais c’est la seule qui convienne. Oui, il me remplit de sa virilité et déjà fait preuve de vouloir encore plus. Serge commence à bouger. — Elle est bien ouverte. Encore une façon de dire à mon mari que je suis bien la "coquine" qu’il pensait. Mais Paul n’a pas besoin d’être réconforté ou rassuré. Il s’est levé de son siège pour mieux ...
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