1. Le bus


    Datte: 03/02/2020, Catégories: fh, cocus, hotel, noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession,

    ... entendue gémir des caresses de Serge. Tu entends le claquement sourd des chairs qui se heurtent, faisant imaginer le cheminement du mandrin dans la fente adorée avec ce clapotis révélateur de toutes ces humeurs de jouissance. Tu vois bien que ta coquine de femme, se faisant salope sous tes yeux, se caresse le clitoris pendant qu’on la baise. Maintenant tu l’entends grommeler indistinctement, le son de sa voix déformé par la couverture. Oui, tu l’entends mieux maintenant car elle a tourné la tête dans ta direction et tu vois son visage, son regard vacillant, et enfin ses paroles t’arrivent : — Oui ! Oui ! C’est bon. Bourre-moi. Encore ! Encore. Chéri, c’est bon, trop bon. Merci. Merci pour tout. Il me donne du… Aaaaaah ! Je jouis, et c’est fantastique. Je jouis sous les yeux de Paul, et bien qu’emportée par l’orgasme dévastateur je vois que le pantalon de mon mari montre une belle bosse, une de ces bosses qui révèlent un sexe tendu et étouffé par le tissu. Paul bande, et cette révélation est la plus belle des récompenses. Serge s’est aussi libéré. Lui aussi a accompagné sa jouissance par des "C’est bon ! C’est bon !" Je n’ai que le regret de ne pas sentir son foutre couler en moi. Nul doute que ses belles couilles n’aient libéré de belles quantités de semence. Dommage ! Serge me libère de son empreinte. Je me coule sur le lit. La pièce est soudainement silencieuse. — Merci, dit l’homme qui vient de nous permettre cette première fois. Ce serait plutôt nous qui devrions le ...
    ... remercier. — Je vais vous laisser, ajoute-t-il en rassemblant ses habits. La première fois, un couple a besoin de se retrouver. Il s’habille. Nous le regardons faire. Il est près de la porte. — Merci encore. C’était formidable, et j’espère que pour vous aussi. Je serai toujours prêt si vous voulez encore de moi. Au revoir.— Au revoir.— Au revoir. C’est tout ce dont nous sommes capables. Il est parti. Paul vient s’asseoir sur le lit. Il est à côté de moi. Nous nous regardons. Sa main chasse une mèche de mon visage. Il demande : — Ça va ?— Oui, et toi ?— Ça va.— Je ne t’ai pas déçu ? Peut-être que tu n’aurais pas voulu que…— Non, chérie, c’était parfait.— Merci. Je suis nue, alanguie sur ce lit qui a été témoin de notre luxure. Nue alors que Paul est encore habillé, se mettant ainsi "hors du jeu" pour n’être qu’un témoin. Mais mon amant est parti, et l’épouse que je suis veut redevenir la maîtresse de son mari. En m’agenouillant, je commence à dégrafer le premier bouton de sa chemise. C’est comme si ce simple morceau de plastique avait été un barrage qui se brise. En quelque secondes la chemise est à terre, me montrant ce torse si différent de celui de Serge, mais ô combien chargé d’érotisme. J’insiste pour dégrafer la ceinture, ouvrir la braguette, tirer sur le slip et faire que mon maître se retrouve nu comme moi. C’est mon devoir de l’honorer. Il a été le plus gentil des maris, et même si c’est aussi pour lui, je lui suis redevable de la plus belle des expériences. Je le pousse ...