De la noblesse et de bien belles fesses - Histoires de Sexe

De la noblesse et de bien belles fesses

... féliciter, avant que le roi ne prenne les mesures…— Ah, madame ! Affaire rondement menée exige paiement comptant et…. c’est principalement pour cela que je suis ici. D’ici peu il sera trop tard.— Que de précipitation, Dranguard ! Mais vous m’avez bien servie. Vous aurez votre chancellerie, et vos domaines, croyez-en ma parole. Je vous ferai libérer au plus vite et…— Vous me faites marcher Jaessa ! Je ne suis pas encore en prison, et ce paiement-là peut attendre effectivement… Pas l’autre, conclut-il avec un sourire entendu. Jaessa demeura silencieuse pendant quelques secondes, avant de répondre, d’une voix délicieusement aguichante : — N’est-ce pas meilleur, monsieur, lorsque l’on a longuement désiré ?— Certes, mais… cela fait plusieurs années que j’attends, madame, je vous rappelle. Jaessa n’avait pas prévu cette ultime rencontre dans ses plans, mais la pensée de payer comptant n’était pas déplaisante en soi, si ce n’est pour l’orgueil et l’amour-propre. En fait, elle devait même admettre, et particulièrement après cette séance aussi monotone avec son prince, que c’était même plutôt intéressant. Les paroles étaient inutiles, tant les deux savaient parfaitement de quoi il retournait. Aussi, c’est après un instant de silence lourd de sous-entendus que Jaessa lâcha d’une voix sensuelle : — À dire vrai, je les ai soigneusement préparées pour vous.— J’espère que personne n’y a goûté depuis, rétorqua Dranguard.— Naturellement. Cela est réservé à ceux qui servent loyalement.— Je ...

... ne veux que la pièce de choix, madame. je laisse le reste aux petits serviteurs et à votre… futur roi.— Même un roi ne goûte pas à cela, monsieur, soyez-en assuré.— Me présenterez-vous le menu, en ce cas ?— Puisque tel est le marché convenu, sire. Jaessa souhaitait, pour cette fois-ci, se laisser aller à ses envies. Puisque ce nigaud de prince qui deviendrait roi était incapable de la satisfaire, pourquoi ne pas céder aux exigences de Dranguard, rien que cette fois? Le plus dur était fait, et il n’y avait là rien à perdre, si ce n’est un tant soi peu de sa dignité. Pourquoi ne pas concilier l’utile à l’agréable ? Sans compter qu’elle n’était pas à l’abri d’une trahison de Dranguard, s’il s’estimait insuffisamment récompensé… Aussi, sous les yeux attentifs du Vicomte, Jaessa se dévêtit, jusqu’à être totalement nue. Elle aurait dû se sentir vulnérable, gênée, mais elle était particulièrement à l’aise. Il lui semblait que c’était là le cours naturel des choses. Et Dranguard attendait, patiemment. Ce ne fut que quand elle finit par enlever le dernier morceau de soie qui dissimulait les formes de son postérieur, que Dranguard sortit de sa patiente contemplation. — Tout ceci m’a l’air extrêmement alléchant madame. Je m’en régale d’avance.— Et… quelle présentation désirez-vous, monsieur ?— Allongée, sur le ventre. Les jambes légèrement écartées, je vous prie. Et bien sûr, aucune préparation d’aucune sorte. J’aime que les choses soient faites naturellement.— Naturellement, monsieur. ...