1. Sexpionnage explosif


    Datte: 05/02/2020, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, fsodo, aventure,

    ... du rideau et je surgis, pistolet en avant, déterminé à délivrer mon message de mort. Surprise ! Je me retrouve nez à nez avec une magnifique jeune femme brune, habillée dans la livrée du room service de l’hôtel : escarpins et bas noirs, jupe grise, chemisier blanc et tailleur gris. Ses cheveux longs sont ramassés en chignon, mettant en évidence les traits fins de son visage bronzé, des sourcils noirs et épais, une bouche finement ciselée ; ses yeux sont noirs comme du jais. Elle braque vers moi avec ses deux mains un pistolet similaire. Instant d’effroi où mes mains restent crispées sur la détente de mon arme, mais je reconnais là une vieille connaissance. — Je constate que le Mossad a la rancune tenace envers les Syriens, Naomi…— Les Français n’ont pas apprécié Barcelone non plus, Jean… répond-elle dans un français parfait teinté d’un délicieux accent aux origines indéfinissables. Un brouhaha nous parvient soudain, venant rapidement vers nous. — Vite ! Il faut quitter cette chambre ! dit ma charmante hôtesse du room service. Dans la précipitation, nous quittons la chambre par son entrée principale pour nous réfugier dans une pièce de service, en face, de l’autre côté du couloir où se trouvent une machine à glaçons, une machine à cirer les chaussures et un placard. Naomi utilise un passe pour ouvrir le placard et nous nous engouffrons dedans avant de refermer calmement à double tour le réduit. Coincé entre les différents ustensiles de ménage, je me trouve collé contre la ...
    ... croupe callipyge de mon hôtesse qui, elle, est contre le mur. Il fait noir ; nous retenons nos souffles. Des bruits de pas, nombreux, font leur apparition ; quelqu’un inspecte la pièce de service, testant la bonne fermeture de notre réduit, et s’éloigne. Des voix sporadiques à quelque pas de nous nous informent de la présence de gardes en faction, nous bloquant toute possibilité de fuite. Nous restons silencieux un moment puis je lui susurre à l’oreille : — Je crois que l’on va rester ici un moment…— Oui, cela m’en a tout l’air… Elle sent bon, un parfum fleuri et fort que seules les Orientales portent. Sa nuque est dégagée, et je ne résiste pas longtemps à humer son odeur et à poser un baiser sur son cou délicat. — On n’est plus à Istanbul, Jean… Ah… Bon souvenir que cette mission à Istanbul. Il s’agissait de surveiller un trafiquant, et dans cette mission le Mossad nous assistait. On surveillait par équipe de deux, et je me suis souvent retrouvé de longues heures en compagnie de Naomi. Le contact était tout de suite passé entre nous. J’appréciais son professionnalisme mais aussi son corps de femme, à la fois musclé et fin comme une liane. Son animalité, sa féminité et enfin ses yeux où se mélangeaient dureté et fragilité. Elle était venue le soir même me rejoindre dans le lit de notre planque, et nous avions fait l’amour simplement et goulûment comme seuls les gens qui côtoient le danger peuvent le faire. Savourant toutes les caresses, nous avions repassé ensemble tout le ...