Victor et Adrienne
Datte: 20/09/2017,
Catégories:
Première fois
... de seins, de sueur, la nuit est très chaude. Dans ma tête, ses fesses, belles pièces de chair, et ses cuisses, émergeant des bas noirs, et la tache de vin ! Je sors, étourdi dans la nuit, je titube.oOo Mon père est en taule. Et pour longtemps. Il trafiquait louche avec le curé Mailiez, le patron d'une école de filles, dont les élèves avaient régulièrement besoin des services de médecins discrets. L'évêque est intervenu pour le curé. C'est ce que raconte à mi-voix gourmande la boulangère, d'un air vaguement offusqué. Je pensais pas que mon daron était capable d'autre chose que de pinter. Bien sûr, il s'est fait gauler, ce con.oOo Voilà que je rencontre Adrienne à la boulangerie. « Ferdinand, tu viendras ? Tu m'as promis ! » En robe d'été, légère, fleurie, transparente, on voit pas mal, on devine ! « Après tes cours ! -- Oui ! -- T'es un ange !» Elle m'attendait. Elle m'installe, elle m'enfonce dans un canapé. Elle apporte des gâteaux, s'assied tout contre moi, cuisse chaude, nichons libres comme des lapins, qui agitent leurs museaux bruns. J'écoute pas trop. « Oui, ça va bien au collège. -- Et l'affaire du curé Mailiez? Et ton père ? -- Il s'est fait poirer. -- On en parle peu. L'évêque a fait étouffer l'affaire. » Elle voit bien que je suis distrait. Je pense à la tache de vin, cachée, juste au-dessus des bas noirs de l'autre jour. Ses jambes nues sont collées aux miennes, carrément, jolis mollets ronds, épaules découvertes ... et son parfum fleuri ! Choupette est loin, ...
... partie dans l'oubli. D'une voix sourde : Ferdinand, tu penses à quoi ? Elle pose un bras sur mes épaules, elle tâte ma braguette, elle glousse, comme Violetta quand je la chatouille sous la jupe. Elle pose ma main sur sa cuisse fraîche, me la monte sous sa robe. C'est doux, c'est chaud, mes oreilles brûlent ... Elle murmure « Ferdinand, t'as déjà léché une femme ? T'as pas envie d'essayer ? J'vois bien qu'si !» Elle me déboutonne, me la sort toute raide et baveuse. Elle remonte sa robe jusque sous les nichons, baisse culotte, écarte en grand les cuisses. La tache de vin, c'est un secret qu'elle m'a confié ! Merci Bon Dieu ... pour une fois ! Elle m'ouvre sa moule, des pétales roses, violacés sur les bords, ça pendouille un peu en dehors, de la chair luisante au milieu d'un fouillis frisé noir, une vraie fourrure de caniche. Elle m'agenouille, c'est comme à la maison rue Destouches, le visage enfoui dans ses poils moites. Ça sent bon la pisse, c'est un peu sucré, pas comme les glands des types sur le canapé rouge. Son gros bouton sous ma langue, je l'enveloppe, je l'écrase, elle gémit, elle crie, elle agite ses cuisses, convulse, tout son ventre, et ses fesses. Elle appuie ma tête, elle aussi me tient aux cheveux, c'est une manie ... merde alors ! Plus bas, oui-i-i, enfonce la bien ta langue ! Je l'enfonce, un trou soyeux et tiède ... du velours ... une source de miel ! Deux doigts, j'explore, elle serre les fesses, je force, je trifouille ... elle adore. Oui, Valentin, vas-y ...