1. À la bibliothèque


    Datte: 06/02/2020, Catégories: fh, jeunes, extracon, Collègues / Travail école, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Oral 69, occasion, extraconj, vêtements,

    ... j’aime bien les poils.— Si tu regardes bien, il en reste beaucoup, rectifia-t-elle. Et elle descendit rejoindre sa place et travailler, encore une fois comme si de rien n’était. Mais qu’est-ce que c’est que cette fille qui me montre sa culotte comme si nous étions assez intimes pour le faire, qui taille ses poils puisque je lui avais fait remarquer qu’ils dépassaient et qui s’en retourne travailler comme si je n’existais plus, pensais-je. Et je n’existais plus pour elle puisque la matinée passa comme si je n’avais pas été là. Lorsque je me levai pour aller manger, elle me suivit. — Si tu es seul, je viens avec toi, s’imposa-t-elle, comme s’il était évident que j’étais d’accord. Installés sur des banquettes se faisant face, nous avons mangé nos sandwichs et nous avons enfin fait connaissance. C’est ainsi que j’appris son prénom, qu’elle vivait chez ses parents, hauts fonctionnaires actuellement en déplacement à l’autre bout du monde et qu’elle s’ennuyait un peu. Je sus qu’elle n’avait ni amis ni petit ami et que les soirées étaient longues. Je découvris qu’elle faisait les mêmes études que moi, mais sa présence dans le même département de la bibliothèque m’avait laissé le supposer. Elle me questionna et je lui dis que mon amie était en voyage et que je m’ennuyais un peu également. — Je t’offre un café dit-elle, se levant en écartant ses genoux, me montrant à nouveau ce que j’avais vu de près le matin. Elle revint avec les cafés, s’installa au bord de la banquette, sucra son ...
    ... café, jambes largement ouvertes, totalement impudique dans ce lieu très fréquenté, mais j’étais heureusement le seul, et assez heureux de l’être, dans l’axe de son fond de culotte. Je sucrai le mien tout en regardant ce que, manifestement, elle souhaitait que je voie. — Tu aimes bien que je te montre ma culotte, me dit-elle, mutine. Comme je ne répondis pas, elle se mit, sans rien changer à son attitude, à parler de nos études et de l’avancée de nos travaux. — On pourrait s’aider me dit-elle, et travailler ensemble, ce serait moins lassant et on se ferait avancer l’un l’autre. Qu’est-ce que tu en penses ?— Pourquoi pas, répondis-je, convaincu que nous avions tout à gagner à collaborer.— Je suppose que tu travailles chez toi le soir ? me demanda-t-elle. Puisque tu es seul, viens chez moi ce soir. Je nous ferai à manger et ensuite on travaillera, ajouta-t-elle. Après tout pourquoi pas, me dis-je, mon travail avancera et je ne m’ennuierai pas tout seul à l’appart. — OK ! lui répondis-je, et nous retournâmes travailler. Elle remonta bien une ou deux fois à l’échelle, entretenant ainsi ma curiosité et l’après-midi se passa. — Tu veux repasser chez toi ? me demanda-t-elle. Ou bien tu m’accompagnes dès maintenant ? N’ayant rien de particulier à y faire, je la suivis. Elle habitait un immeuble cossu, escalier monumental, lustre à pendeloque, le genre que je n’avais guère l’habitude de fréquenter. — Je vais te faire visiter me dit-elle, prenant ma main. La pièce qui m’impressionna le ...
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