1. Enfin l'extase


    Datte: 06/02/2020, Catégories: extracon, cocus, grossexe, parking, hotel, Masturbation intermast, facial, Oral pénétratio,

    ... quelconque. Marie, elle, semble tout à fait tranquille. Elle le prend dans ses bras comme on ferait avec une vieille connaissance, et lui fait des bises appuyées. Elle nous présente mutuellement, comme si c’était nécessaire, et peu de mots sont échangés le temps que nos chocolats chauds nous soient servis. Je meuble en lui demandant ce qu’il fait comme boulot, d’où il vient, des infos sur sa famille. Mais c’est pour être poli. Je m’en fous royalement. Je veux juste le voir baiser ma femme. Lui ou quelqu’un d’autre d’ailleurs. C’est juste ça que je veux. Mais je reste poli. Ils ont eu quelques minutes pour eux quand je suis allé payer l’addition. Personne ne semblait pressé de passer à la suite mais on est bien venus pour ça non ? Nous embarquons dans mon 4x4. Je ne sais même pas où nous allons. Je démarre. Marie a pris place devant avec moi. Kamel est derrière côté droit. Quand il ouvre la bouche, c’est pour me demander de le déposer chez lui. Je ne dis rien. Je connais cette rue et m’y dirige. Visiblement il veut en rester là. Je suis ennuyé. Et rassuré. Je me gare dans une petite rue à proximité de son logement. Marie ouvre sa porte, ouvre celle de Kamel. La voiture est assez haute. Debout devant lui, Marie est à sa hauteur. Ou quasiment. Elle lui dit quelques mots à l’oreille, les mains sur les épaules de Kamel. Il a fait un quart de tour dans la direction de Marie pour se trouver en face d’elle. Elle le serre, l’embrasse profondément, lui caresse le torse, les joues, le ...
    ... cou, puis descend sur ses cuisses, le force à les écarter pour qu’elle s’approche plus encore. Elle presse ses seins contre lui en continuant de l’embrasser. Elle s’écarte de quelques centimètres et lui souffle : — On ne va pas en rester là ? Kamel ne répond pas. Il n’ouvre la bouche que pour accueillir la langue de Marie qui cherche la sienne. Elle le pousse vers l’intérieur de la voiture et cette fois le caresse partout. Marie se tourne vers moi, et me dis : — Allez, roule. Où aller ? Je roule au hasard. Ils se bécotent à l’arrière, se touchent, se lèchent. À un feu, je me retourne pour voir Marie plonger une main dans le pantalon de Kamel. Elle le branle. Il se laisse faire mais hésite à lui rendre ses caresses. Je redémarre. Une idée me vient. Le parking du centre aéré, à l’extérieur de la ville. Il n’y a personne à cette heure tardive. Le parking est faiblement éclairé mais ça devrait aller. Je roule vers mon objectif tout en cherchant dans mon rétroviseur de quoi me rincer l’œil. Je ne capte que des embrassades. J’ai hâte d’arriver. Il n’y a personne aux environs. Je choisis le fond du parking. Le premier réverbère est à trente mètres environ. Je m’y gare en arrière, au cas où. Je coupe le moteur. Pas un mot. Marie a entrepris de retirer à Kamel ces chaussures et ce pantalon qui la gênent. Elle lui a ouvert la chemise. Elle lui confisque son slip. Le voilà assis, presque à poil. Elle est face à lui, je ne vois que ses jambes et ses bras. Marie se recule pour se défaire ...
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