Attente
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
fh,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
ecriv_f,
Comme on lui a demandé, elle est entrée dans la petite pièce sombre. Là, elle s’est déshabillée, en pliant soigneusement chaque vêtement, pour apaiser un peu sa nervosité. En culotte et soutien-gorge, elle a frissonné. Le matin, elle avait choisi avec soin la parure, mignonne sans être aguicheuse, mettant joliment ses seins en valeur. Ça lui avait donné confiance. Elle devait maintenant quitter ce rempart. La culotte, puis le soutien-gorge se posèrent sur le haut de la pile bien nette. Elle enfila avec appréhension la chemise blanche et fine, presque transparente, qu’on avait laissée sur la patère à son intention. Ses prévisions s’étaient révélés justes : la chemise, très courte, ne couvrait ni les fesses, ni le bas de son ventre. Elle soupira. Elle avait choisi de venir, elle ne reviendrait pas en arrière. Décidée, elle poussa la porte faisant face à celle par laquelle elle était entrée. Ce qu’elle vit lui causa un choc. Elle s’était attendue, folle qu’elle était, à trouver un lit, derrière cette porte. Non. Une table d’examen en moleskine noir, aux étriers luisants, la narguait au milieu de la pièce, la renvoyant à elle-même. Elle savait, pourtant, pourquoi elle était là. Elle savait aussi qu’aucune concession n’était possible, et pourtant, elle était venue. Mais la table, avec les chromes et ses reflets, lui semblait d’une obscénité plus grande que tout le reste. L’homme lui tournait le dos. Il était assez grand, les épaules larges, les cheveux blonds. Il tourna à ...
... peine la tête vers elle. — Installez-vous, je vous prie. Une voix douce, chaude, presque tendre. Caressante. Une voix autoritaire, aussi. Elle compris qu’il s’attendait à ce qu’elle prenne place sur la table. Elle s’installa, fesses bien au bord, les pieds dans les étriers, mais, par réflexe, les genoux serrés. Après quelques minutes, l’homme fit le tour de la table et, doucement, lui écarta les genoux. — Détendez-vous. Ton calmes et toujours impérieux. Elle se sentit entourée par la voix et ses muscles se détendirent. Elle ne s’était pas rendue compte à quel point elle s’était crispée. Il se pencha entre ses jambes, puis elle sentit sa main chaude sur sa cuisse. Elle s’ouvrit un peu plus. Elle pouvait voir, à travers la chemise, la tache sombre de ses aréoles monter et descendre doucement au rythme de sa respiration. Il posa sa main sur l’autre cuisse, et là encore, sans pression de sa part, elle s’ouvrit. Il se pencha un peu. Elle se dit que, sans doute, il pouvait sentir son odeur. Il se releva, se tourna. Il s’éloigna un peu de la table, de manière à ce qu’elle puisse le voir. Il lui sourit. — Je m’excuse, je vais vous faire attendre un peu. Ce ne sera pas long. Allongée sur la table d’examen, les jambes ouvertes, offertes, elle commença à paniquer. Si quelqu’un entrait, la trouvait ainsi ! Elle pensa refermer les genoux, retirer les pieds des étriers, s’asseoir. Elle n’osa pas. Elle resta ainsi, exhibée, cherchant une idée qui l’apaise, qui la calme. Mais une seule pensée ...