1. Doucement, nous avons tout notre temps


    Datte: 06/02/2020, Catégories: fh, ff, jeunes, couple, ascendant, Inceste / Tabou bain, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, fsodo, init,

    ... s’allonger, monter dans les airs. Il ne faisait rien pour dissimuler ses érections, ignorant sans doute que je jouais les voyeuses, à moins qu’il n’en eût cure ; aussi, je me délectais du spectacle. Lorsque cela arrivait, derrière mes lunettes de soleil, je gardais les yeux rivés sur l’organe, lorsqu’il se mettait à gonfler, puis le gland rubicond et brillant qui apparaissait. Tel un mât de cocagne, le pieu montait dans les airs, tendu, dur, frémissant. Après quelques instants, la queue perdait de sa superbe, fléchissait, mollissait, jusqu’au moment où elle redevenait flasque et venait reposer gentiment sur la cuisse, comme si rien ne s’était passé. Comme Audrey ne lui offrait même pas une nuit d’adieu, il couchait dans une petite dépendance. Alors, cette nuit-là, je suis allée rejoindre l’amant abandonné. Guillaume m’a déflorée, avec douceur, si bien que la douleur a été quasiment nulle. Ensuite, il me fit l’amour avec douceur, sans précipitation, il caressa mon corps. Ses doigts atteignaient des zones que seule ma main avait explorées, lors de mes masturbations quotidiennes. Je ne pouvais retenir des gémissements plus ou moins audibles. Je fermais les yeux, la bouche ouverte, je savais qu’il regardait mon corps nu et offert. Mes petits seins gorgés de désir étaient tendus à l’extrême, presque douloureux lorsqu’il les pétrissait, mes lèvres intimes sous ma toison pubienne s’ouvraient, accueillantes, trempées de mon liquide. Lorsqu’il m’embrassa, colla ses lèvres aux ...
    ... miennes, je fus prise au dépourvu, surprise par cet assaut. Jamais on ne m’avait embrassé ainsi. Pourtant je ne refusai pas son baiser, bien au contraire, nos bouches s’épousèrent et nos langues se mêlèrent passionnément. J’étais comme un volcan prêt à entrer en éruption. Tout en continuant à m’embrasser, il me masturbait, allant de mes seins à ma vulve. Alors moi aussi, j’ai fait courir mes mains sur son torse, dans son dos et je rencontrai sa verge, celle qui venait de me déflorer, celle qui allait me donner à nouveau du plaisir. Je la saisis et la branlai vigoureusement, comme je l’avais vu faire dans un film porno. Alors il m’a prise une seconde fois avec beaucoup plus de vigueur. La manière dont il entrait et sortait de mon vagin avec son sexe était à la fois douloureuse et jouissive. Je me suis dit que j’étais une femme à présent. Et pour ne rien gâcher, j’ai pris beaucoup de plaisir durant cette joute et me suis dit qu’il faudrait que je renouvelle rapidement l’expérience. Je ne l’ai jamais revu, car comme prévu, le lendemain matin il est reparti. Ma mère m’a seulement demandé : — Le sang sur le drap dans la chambre qu’occupait Guillaume la nuit dernière, c’est le tien ?— Oui maman, je le trouvais si beau que j’ai eu envie de coucher avec lui.— Il t’a donc déflorée. Je ne te jette pas la pierre, il fallait bien que ça arrive un jour. Mais, a-t-il mis un préservatif au moins ?— Euh, je ne crois pas… Enfin je ne sais pas.— Mais tu es complètement inconsciente Cindy !— Pas de ...
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