1. Ma femme est une salope !


    Datte: 07/02/2020, Catégories: h, fh, extracon, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, 69, hdanus, hsodo, init,

    Ahhhh ! Ma femme est une salope ! Ce cri que je pousse me libère de cette vérité. Après plus de dix ans de mariage, je viens de découvrir que ma femme me trompe. L’écrire me fait du bien et me permet de calmer mes nerfs, de faire tomber ma rogne. C’est vrai, je ne suis pas tout le temps à la maison. C’est vrai, je passe mon temps sur les routes, chez les clients et quelquefois, avec des clientes. Oui, mais moi, c’est différent ! Alors, c’est pas une raison pour qu’elle s’envoie en l’air avec le premier venu. Et encore, quand je dis le premier venu, d’après ce que j’ai pu comprendre hier soir, tellement la rage me rendait sourd, ce n’était peut-être pas la première fois. Voilà, hier, je suis rentré plutôt, à l’improviste chez nous. Silence dans la maison. Personne dans la cuisine, personne dans le salon. Bien sûr, j’ai pas hurlé pour avertir de mon arrivée. Je venais de m’avaler plus de huit cents bornes de chemin de retour, en voiture, alors comme j’étais fourbu, cassé, je me suis dirigé vers la salle de bain pour me faire couler un bain bien chaud. En y entrant, ma première surprise a été de trouver sur le tapis de bain, au milieu de la pièce, un tas de vêtements ! Ils était emmêlés, intriqués les uns dans les autres dans un désordre abominable qui montraient de la précipitation à les quitter. Là, il y avait les vêtements de ma femme et des affaires d’homme qui ne m’appartenaient pas ! Et toujours pas de bruit. Ni une ni deux, je suis allé vers la chambre à coucher. Notre ...
    ... chambre. Notre nid d’amour, enfin, quand je suis là… et quand j’ai commencé à ouvrir la porte, je me suis rendu compte que des gémissements s’en échappaient. Surpris, j’ai hésité. J’étais placé devant un sale dilemme : ou j’ouvrais tout grand ou j’entrebâillais la porte. J’ai préféré entrebâiller la porte. La main moite, le cœur qui battait à tout rompre dans ma poitrine, de longues suées qui me dégoulinaient le long du front. Par cet entrebâillement, dans le reflet de la grande armoire à glace de ma grand-mère (voile-toi la face, mémé, devant le spectacle que tu pouvais contempler hier soir), ma femme était nue, dominant une paire de jambe brunes, velues et musclés, une grosse bite très brune, droite et dure dans la bouche. Elle suçait profondément un inconnu (de moi). Elle, elle recevait un hommage dans son intimité. J’apercevais quelques cheveux très bruns et une large main qui était posée sur sa fesse blanche qui l’écartait violemment. J’étais médusé. Je restais interdit. Je ne savais plus que faire. Un homme suçait ma femme ! En plus, il semblait musclé des bras et donc certainement plus costaud que moi. Elle, elle s’acharnait sur son sexe, dont je voyais la colonne de chair monter et descendre dans sa bouche baveuse et de temps à autre, elle faisait le tour du gland, rouge violacé, avec sa langue qu’elle dardait le plus loin possible. Putain ! Qu’est-ce qu’il fallait faire ? Entrer, péter un scandale, tout casser ou rester là, comme un con à regarder ma femme se faire ...
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