1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°824)


    Datte: 25/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... prenait peur et se dit qu’elle ne pouvait pas devenir comme cela et à la fois cela l’excitait fortement car elle sentait son bas ventre humide et ces sensations s’entrechoquèrent dans son esprit. Quand le défilé fut terminé et suite à un signe de la main du Marquis d’Evans, tous les Maîtres et esclaves se regroupèrent sur la piste de danse, pour une photo souvenir de groupe. Le Marquis se leva alors de son trône, tira sur les chaînes et les 2 chiennes Jeanne et Christelle se tinrent, sans dire mot, prêtes à avancer toujours 4 pattes. Il regarda Fanny et avant de commencer à descendre les marches du trône, il lui dit calmement mais autoritairement : - Je veux que tu sois sur la photo, alors je vais prendre le bout de ta laisse et tu avanceras au côté de mes deux chiennes, toi aussi à 4 pattes. Et je ne veux pas t’entendre. Allez avance petite chienne Alors Fanny craintive ne put qu’obéir et pour la première fois de sa vie, elle ressentie vraiment sa véritable condition. Le quatuor, le Maître des lieux et les 3 femelles en laisse, arriva sur la piste de danse, seul endroit non équipé de tapis épais et doux mais plutôt d’un parquet vernis clair plus dur sous les genoux pour les esclaves. Chaque Maîtresse et Maître posa un pied sur le dos d’un chien, d’une chienne et relevèrent fièrement la tête pour regarder Walter qui prit plusieurs photos. En bon photographe, celui-ci demanda poliment à une Maîtresse de se mettre plus à droite, ou à un esclave de mieux baisser la tête, à un ...
    ... Maître distrait de regarder l’objectif… etc… à des fins de meilleurs réussites photographiques. Fanny qui devait comme ses congénères baisser la tête, sentit une main lui caresser les fesses. Elle faillit instinctivement se retourner quand la Marquis tira sur la laisse ce qui fit comprendre à la soumise de ne pas bouger. Elle comprit que le Noble légèrement penché sur le côté lui passait la main vicieusement sur sa croupe. Elle aperçut également que son Maître alternait ce geste sur Jeanne et Christelle. Ces deux dernières ne bronchèrent point et restèrent impassible comme habituée à ce genre de chose. Quand Walter finit les photos, il fit signe au Marquis et ce dernier prit de nouveau la parole : - Merci à tous. Et maintenant tous au buffet. Buvez et mangez à volonté mes amis, un apéritif dînatoire vous attends ! Il frappa de nouveau dans les mains et les femelles-serveuses du Marquis qui attendaient sagement derrière le long bar, déposèrent de nombreux plats exquis, qu’un traiteur de la haute société avait préalablement préparé et livré, sur toute la longueur du comptoir. Un brouhaha de satisfaction générale se fit entendre et tous se dirigèrent vers le buffet. La Duchesse de Vermont entraînant son chien Edgart s’approcha du Marquis d’Evans et lui dit : - Mon cher Edouard, que vous avez là une bien belle chienne ! J’aurai plaisir à ce que vous me la prêtiez à l’occasion car je suis certaine qu’elle ne connaît pas le dressage d’une Maîtresse … - Ma chère Antoinette, j’y ai ...