1. Journaliste, une carrière à part (3)


    Datte: 08/02/2020, Catégories: Hétéro

    Cinq années se sont écoulées. Je suis restée journaliste au sein de la même chaîne, changeant de situation épisodiquement, tantôt en charge de reportages, tantôt présentatrice d’émission. Jai eu quelques aventures avec divers hommes plus ou moins connus. Je me suis marié à l’un d’entre eux, un politicien, il y a deux ans. Je viens d’accoucher de mon premier enfant, il y a à peine trois mois. J’ai profité de ma grossesse pour faire un break professionnel, ce qui n’est jamais bon dans notre métier où tout le monde guette la moindre opportunité pour faire carrière. Ma place est désormais prise. Et je retombe sur Jean Claude Defer. Il est revenu à la tête d’une chaîne nationale après un détour dans le monde du sport et il a apprit que je cherchais à reprendre le collier. Il n’a pas changé, c’est toujours le prototype du malotru. Après deux heures d’attente, et en moins de cinq minutes mon nouveau contrat est scellé. Le type reste fidèle à ses habitudes. Il lorgne mes seins,encore gonflés par ma récente grossesse, avec une fixité digne d’un cobra. Je dois dire que je suis habituée à ses manières et ne m’en émeut pas plus que cela. Je reprends donc du service comme présentatrice du journal du soir. Jean Claude n’a pas vraiment changé, distant, froid comme un glaçon. Il n’a effectivement pas changé du tout car à peine dix jours après mon embauche, je reçois un SMS, dans lequel il m’invite à passer dans son bureau le lendemain soir. Je lui réponds que ça va être compliqué, vu que ...
    ... j’ai un enfant en bas âge que j’allaite encore. Sa réponse est que ce ne sera pas long. Je débarque vers 22 heures dans le bureau du grand patron. Ce coup ci il ne me fait pas attendre. C’est toujours aussi sec, le type me propose un verre et comme je ne bois pas d’alcool, vu mon état, j’ai droit à un verre de jus de fruits. Jean Claude lorgne mapoitrine et me demande à brûle pourpoint comment se passe l’allaitement. Voilà maintenant qu’il se préoccupe de puériculture, mais plus rien ne me surprend chez lui. Je lui réponds que je fonctionne de manière alternée. La journée la nounou alimente mon fils au biberon et à partir du soir je le nourris moi-même. D’ailleurs je lui signifie que je dois y aller rapidement car cela va être l’heure. Jean Claude n’aime pas perdre son temps. Assis derrière sa table, il me demande de lui présenter mes seins. Je dois donc me lever m’approcher de lui, me pencher sur le bureau et ouvrir mon bustier, libérant ainsi ma poitrine. Il se penche en avant et saisissant mon téton gauche entre son pouce et son index, le rustre commence à me traire, tout simplement. Du lait coule sur son bureau, il n’en à que faire. Il renouvelle l’opération avec l’autre tétine, tant que le liquide coule puis lèche ses doigts et me libère d’un geste de la main. C’est tout lui. Ce type est un pervers de la pire espèce. Malheureusement il connait aussi mon côté sombre et sait comment en tirer parti. Il me fout la paix pendant quelques semaines, puis m’invite avec mon mari à ...
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