1. Un déjeuner à l'odeur de Cyprine


    Datte: 08/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    "Nous irons déjeuner au Train Bleu, tel est mon souhait. Une fois installée, vous prendrez ma serviette de table et vous irez vous rafraîchir aux toilettes. Je souhaite que vous parfumiez celle-ci de votre odeur intime qui j'espère sera dégoulinante et fort odorante. Essuyez vous bien surtout car il est impératif que je puisse déjeuner avec le fumet de votre désir pour moi qui viendra me chatouiller les narines !!!"Tel est le message que je reçois de mon Maître alors même que je suis en route pour le rejoindre sur Paris.Je repose mon smartphone et je souris intérieurement. Mon Puissant Maître semble au summum de sa forme. Ses envies promettent de nous conduire vers un plaisir partagé, ce qui est de très bon augure.Mon état de soumise est enviable et avantageux. Quand on me regarde on dirait une femme mondaine qui sourit poliment mais en réalité je ne vis que pour boire jusqu'à la lie les perversions de mon Maître. L'obéissance est un drogue dont je ne veux jamais me passer, elle me pousse à me sublimer et à me sophistiquer pour lui. Obéir me va tellement bien au final.Je ferme les yeux et je me laisse porter par les trémulations du train qui font danser doucement mes seins. La banquette est rêche, résidu d'une politique des transports à l'économie, même si elle semble faite de velours au regard.Je ne porte pas de culotte comme cela est de rigueur dans notre relation et je sens mon sexe s'humidifier lentement. Je voudrais écarter les jambes aux rythmes des minutes qui ...
    ... passent pour montrer à tout le monde combien sa venue me met en chaleur. Je me sens chienne, soumise et amoureuse perdue au milieu d'une population de voyageurs du matin, fades et sans odeurs alors que moi je transpire le cul de tout mon corps.Arrivée à destination, je suis en avance et il me faudra encore attendre 40 minutes avant de pouvoir distinguer dans la foule trépidante le rythme de son pas sur lequel j'aime me synchroniser. L'acier gris du fauteuil imperssonnel sur lequel je me trouve rafraîchit à peine le feu que j'ai aux fesses. Je ne sais pas comment me tenir pour ne pas attirer trop l'attention des gens qui m'entourent. Ignorants des tourments qui m'occupent, les gens commencent à organiser leurs déjeuners. "Sandwichs ou salades ?", demande à son fils, la mamie qui se trouve à mes cotés. "Moi ça sera serviette à mouiller copieusement", ai-je envie de lui répondre, mais je doute que cette petite dame puisse comprendre le sens profond de mes mots.N'y tenant plus, je me lève et fais quelques pas devant la voie ou son train daigne enfin stationner. Je le reconnais de loin, au téléphone avec probablement un des ses nombreux clients qui ne distinguent plus la nuit du jour. Il m'a vu et me fais signe, je le suis sans un mot car il n'est pas question d'interrompre une discussion qui peut rapporter des milliers d'euros.Puis enfin son regard se pose sur moi, il m'inspecte sous toutes les coutures et me donne son approbation quant à ma tenue et mon apparence."Parfait, vous êtes ...
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