1. Les routiers sont sympas (7)


    Datte: 08/02/2020, Catégories: Hétéro

    ... déverrouillée. De ce côté-là, c’est, au moins, une dizaine de femmes qui attendaient. Elles s’engouffrent dans la cabine, me prennent à bras le corps, m’immobilisent à grands renforts de rires et de cris. Je ne peux rien faire et surtout rien dire. Une bouche est plaquée contre la mienne. Une langue force sur mes dents pour les écarter. Je ne peux que répondre à ce baiser, vigoureux et profond, au parfum de bière qui me coupe le souffle. Quand cette bouche s’écarte, c’en est une autre qui la remplace. Dans le chahut, j’arrive à me faufiler dehors pour tomber dans les bras des copines de l’employée. Je dis bien ses copines car elle se tient un peu à l’écart... Traversant la cabine ou en faisant le tour, les furies du bécotage ont vite fait de m’entourer. Les bécots et autres léchages reprennent de plus belle. Pour ne pas tomber, dans la bousculade, je me cramponne ou je peux, à ce qui est à la portée de mes mains. C’est ainsi que quelques boutons ont lâché prise. Des corsages se sont ouverts. Des seins, je dirais plutôt des mamelles, ont retrouvé la liberté. Ne voulant pas rester inactif devant cette débauche de nichons, je repousse celle qui voulait m’aspirer les amygdales, lui attrape les nénés et y dépose un suçon sur chacun. Voyant cela, les autres femmes marquent un temps d’arrêt puis, prises d’une sorte d’hystérie collective m’enlèvent tricot et tee-shirt et viennent frotter leurs poitrines contre mon dos et mon torse nus. À tour de rôle, elles viennent réclamer leur ...
    ... suçon. Je prends un certain plaisir à les satisfaire. Dans mon pantalon, ma verge accusait le coup en se raidissant au maximum contre mon ventre... Ce qui devait arriver arriva... L’une des femmes s’aperçut de cette rigidité à travers le tissu. Posant une main dessus, elle baragouine quelques mots. Aussitôt, tel un vol de mouches sur une cuillerée de confiture, les femmes se bousculent pour venir tâter et apprécier ce qu’elles pressentaient, tout cela en éclats de rire et de voix où je ne comprenais pas un traître mot. Leurs longs vêtements m’empêchaient de leur rendre coup pour coup. Impossible de passer une main entre leurs cuisses. C’est sur leurs gros lolos que je leur rendais la monnaie de leur pièce. D’une main, voire des deux, entre mes doigts, je faisais rouler ces nénés si généreusement offerts. Si je l’avais à portée, j’en prenais un troisième téton entre mes lèvres pour le titiller avec la langue... Je pensais, avec de telles laitières, les nourrissons étaient à l’abri de la famine. Je m’attendais à subir un viol collectif de la part de ces femelles en rut quand j’ai senti qu’elles commençaient à dégrafer ma ceinture et défaire les boutons de mon pantalon. Finalement, c’est la police qui m’a sauvé de ce supplice publiquement collectif. En effet, une voiture verte et grise, avec gyrophares sur le toit et l’inscription « POLIZEI » (police) sur les portières et les capots, s’approchait à petites vitesses. La voyant, ces dames, telle une envolée de moineaux effrayés, sont ...