1. Mamie Geneviève (22)


    Datte: 10/02/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... face-à-face. Je la prends dans mes bras et la câline un long moment, puis lui ôte son affreux sweet-shirt en un geste rapide qui la surprend. — Qu’est-ce que tu fais, maman ? — Je veux te mettre à l’aise pendant que tu me raconteras tout, j’ai besoin de savoir comment ça a commencé. Je sais que tu étais jeune, influençable et que tu n’es nullement responsable de tous les maux dont tu t’accuses. — C’est trop difficile ! Je n’arrive pas à parler devant toi. Quand je te regarde, je perds tous mes moyens. — Dans ce cas, pas de problème pour ça, ma chérie ! Je prends un foulard dans mon sac et l’utilise pour bander les yeux de ma fille. Agnès se laisse faire et semble être acquise à mes desiderata. Bien que je lui paraisse pleine d’assurance, je reste troublée à la vue de son dos, à sa peau si douce que j’effleure, et ne peux m’empêcher de lui mordiller la nuque, quand je dégrafe son soutien-gorge. Comme elle cherche à masquer sa poitrine dénudée, je lui écarte les bras et caresse délicatement chacun de ses seins, ce qui la fait soupirer et même gémir. Puis, me penche, pour suçoter ses tétons tour à tour, avant de déboutonner son pantalon. Cette fois, elle cesse d’être passive et m’aide à se dévêtir... Je la fais s’allonger, totalement nue, sur le lit, me place entre ses genoux relevés. Je couvre son corps de caresses, avant de poser mes lèvres sur les siennes. Notre baiser est plein de tendresse et je sens sous mes doigts, qui courent sur sa peau, que son corps se détend ...
    ... progressivement. Je lui souffle alors à l’oreille : « Parle maintenant et... laisse-moi faire » Alors que mes lèvres glissent sur sa peau, Agnès soupire, prend une grande respiration, puis se lance : « Le garçon qui m’a déflorée s’appelait Romain. Je ne l’aimais pas particulièrement, mais il était mignon. Lui, il ne tenait pas à moi non plus ! Il voulait juste me sauter ! Mais... Il était brutal et me faisait mal à chaque fois. Comme j’allais souvent chez lui, j’ai rencontré sa sœur, Mathilde, avec qui je suis rapidement devenue amie. Je me suis vite rendue compte qu’elle me draguait, même devant Romain, ça m’amusait d’être séduite par cette fille. Une fois, en allant à la piscine toutes les deux, alors que nous étions dans la même cabine pour nous changer, je l’ai laissée m’embrasser et même me caresser. C’était si délicieux que, quand elle m’a levé la jambe pour me lécher la chatte, je l’ai laissée faire. Elle m’a faite jouir intensément, alors que je me contenais pour ne pas crier, tellement c’était bon !» Alors que la parole de ma fille se libère, je bise l’intérieur de ses cuisses et converge vers sa vulve humide de cyprine. Car malgré sa nervosité, Agnès n’est pas insensible à mes caresses ou peut-être est-ce dû à ses réminiscences, à ces souvenirs d’aventures avec Mathilde. Elle poursuit : « J’ai vite quitté Romain, pour lui préférer sa sœur, de qui je suis tombée réellement amoureuse, et avec qui je faisais souvent l’amour. C’était, soit chez elle, quand son frère n’était pas ...
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