1. Vacances en famille Suite et fin


    Datte: 10/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... constatons que réellement sa poitrine est toujours ferme si ce n'est un léger affaissement. Un regard à mon complice et nous plongeons tout deux rejoindre la naïade. Tu nous prive de la vue d'une très jolie paire de seins, à l'avenir tu devrais faire comme tes filles! Dit Georges. J'ajoute en tâtant celui de droite: Ils sont même très agréable au touché! Elle se met sur ses pieds, sans écarter ma main. Et dit: Dis donc François, c'est pour comparer avec ceux de Nat? En même temps, Georges s'est approché et caresse l'autre téton. Vous êtes fous! Comme elle a le regard tourné vers moi, j'approche mes lèvres et l'embrasse, d'abord fermées elles s'ouvrent et nos langues se mêlent. Georges rejoint nos bouches et sa langue se mélange avec les nôtres. Nous la sentons faiblir entre nos bras et la ramenons sur la margelle puis vers les matelas. Nous couvrons sont corps de baiser, retirons son maillot pour l'un après l'autre caresser son giron garni de poils noirs ou se mêlent quelques nuances argentées et téter son clitoris sorti de sa coquille. Elle commence à geindre de plaisir. Nous avons Georges et moi enlever nos slips et sentons une main caressante s'intéresser à nos virilités. Elle a trouvé sous nos caresses buccales un premier orgasme. Vu ma position, mon membre est à portée de sa bouche et elle l'avale sans hésiter. Georges se couche sur elle et la pénètre. Elle ne peut avec mon membre entre ses lèvres n'émettre que des borborygmes qui semblent cependant être de plaisir. Elle ...
    ... jouit. Après l'avoir basculée pour la prendre en levrette, Georges et moi changeons d'étui pour nos phallus. Cette fois nous allons aussi au bout de notre plaisir et éjaculons moi dans son con et Georges entre ses lèvres. Lorsqu'elle reprend pied sur terre, elle nous dit: Vous êtes complètement fous, dieu que c'était bon, j'avais un peu oublié... Presque en cœur, nous lui assurons: En tout cas, tu est aussi bonne à baiser que tes filles. Nous recommençons à l'embrasser et à la caresser... Ah non! Vous n'aller pas recommencer? Si! Si! Mon dieu, c'est vrai... Dit-elle en prenant dans chaque main une tige prête au combat. C'est moi qui me couche entre ses cuisses cette fois et la pénètre une nouvelle fois. Oh! C'est trop bon, comment voulez-vous que je résiste. En même temps que je vais et vient dans son doux étui, je la tiens par les fesses et insinue un doigt vers son petit trou lubrifié par ses jouissances précédentes. Elle semble apprécié et jouit à nouveau. Je bascule et la met au-dessus de moi, Georges complice à compris mon intention et remplace ma main pour titiller son anus à un doigt puis deux. Je sens peu après son sexe que s'introduit le long du mien. Après lui avoir laisser le temps de s'habituer à cette double présence en elle, nous commençons nos va-et-viens alternatifs. Cette fois elle hurle presque sa jouissance et lorsque Georges puis moi lui inondons ses deux portes de plaisirs, un orgasme plus violent que les précédents la secoue. Reprenant ces esprits après ...
«1...345...»