1. Une soirée tranquille


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... claque, mon cul rougit sous les coup, tu me baises penchée en avant, appuyée sur la table basse, tu t'agrippes fort et tu jouis en moi, ton foutre coule le long de mes bas, tu en récupères pour lubrifier ma rondelle serrée et tu me doigtes un peu, un doigts puis deux. Une dernière claque, un kleenex, tu remballes ta belle queue et nous partons en amoureux au restaurant. Dans l'ascenseur je te montre mon dernier achat : un soutien-gorge ouvert qui offre mes seins enserrés de dentelle noire. Tu as juste le temps d'en pincer les tétons déjà durcis par le plaisir. Au restaurant, tu prends le contrôle. Tu sais que je n'ai pas de culotte, tu me demandes d'écarter les jambes, tu glisses ta main sous ma jupe et tu enfonces tes doigts un par un dans ma chatte dégoulinante de ta jute. Après le dîner, de retour chez nous, tu prends les rennes. Je te donnes tous les droits. Tu me donnes les instructions et je t'obéis docile. Tu laisses ton imagination parler, tu laisse tes désirs prendre le pas, tu ne penses qu'à toi, uniquement à toi. Je suis ta chose, ton jouet, ta poupée, je n'aie pas peur, j'ai confiance, ...
    ... fais moi mal si tu veux, j'accepte, prends ma bouche mon abricot mon cul, prends-moi par les cheveux, attache-moi ou prends-moi doucement et lentement, caresse-moi, tout ce que tu veux, tout ce que tu souhaites me remplit de joie et de plaisir. Fais-moi l'amour ou baise-moi sauvagement, je prends tout ta douceur et ta tendresse, ta force et ta virilité, ta violence. Mais prends-moi. Tu me pousses doucement à quatre pattes sur le lit, tu me caresses, tu me rends folle, je te supplie de n’embrocher, tu t'amuses, tu attrapes le gel, tu me demandes de m'écarter les fesses, le gel coule sur mon anus, tu ordonnes "prépare-toi", la tête sur l'oreiller, je glisse mes index dans mon cul et je détends ma rondelle, je le supplie encore "encule-moi", il me claque très fort, je sursaute et mes doigts quitte mon cul, à peine le temps de respirer et il enfonce lentement son dard dans mon tréfonds... "oh putain, tu es tellement serrée, c'est tellement bon..." Oui, fais ce que tu veux..." "Je vais te défoncer mon amour..." Je n'ai pas le temps de répondre. Je ne peux que gémir. De douleur. De plaisir. Il me remplit. 
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