L'épouse, l'amant, l'époux ! 12
Datte: 11/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Voyeur / Exhib / Nudisme
L’emprise de la nuit s’était étendue sur toute la ville ; brillaient les réverbères anti-obscurité ; on se trouvait au mois d’août, la chaleur caniculaire de l’été ouest européen de cette soirée-là n’était pas ce qui avait poussé le couple dont il sera question à prendre une douche, quelque chose d’autre l’avait contraint sous la fraicheur des jets d’eau rectilignes. Le couple, légalement uni, sans enfant, vivaient ensemble depuis un demi quart de siècle ; la femme, Madame Laurie Belfort, pharmacienne, la quarantaine, cheveux blonds courts, recelait un caractère de dominatrice ; le mari, Monsieur Bernard Belfort, PDG d’une entreprise de vente de produits féminins sur internet, le jour, au bureau, paraissait banal, aussi banal que le premier chef d’entreprise qu’on croise dans la rue sans savoir que ça est un, et Monsieur Bernard Belfort, une fois dans le secret des murs de son couple, revêtait le caractère qu’un adepte du sadomasochisme aurait dit caractère de soumis. Sur le couple nu l’eau continuait à pleuvoir ; les gouttelettes issues des éclaboussures s’accrochaient un instant sur les parois en plastique cloisonnant la douche puis chacune selon un destin propre se transformait plus ou moins vite en larmichette avant de disparaitre vers la flaque souterraine commune, sorte d’oubliette ; les plus hautaines s’accrochaient jusqu’à l’évaporation sur la surface en plastique qu’elles marquaient d’une tache blanche que la main ménagère du mari effaçait pour de bon. -Enlève ta ...
... cage ! -Oui Maitresse. La clé de la cage pour chaste reposait au milieu des seins clairs de la Maitresse. Elle libéra la clé de son collier puis la tendit au soumis. Il la saisit. Il ouvrit sa cage-bite. Aussitôt le long du petit sexe l’eau se mit à circuler sur les marquages plus ou moins profonds qu’avait imprégné la cage métallique dans son épiderme. -Rase-moi ! -Oui Maitresse. -Tu vas raser mes aisselles, mon pubis, et mes jambes ! -Oui Maitresse. Le soumis s’exécuta : à l’aide d’une petite bonbonne aluminium à mousse il fit mousser les aisselles les jambes et le pubis de sa Maitresse puis avec un rasoir il lui rasa les aisselles le pubis et les jambes bien que toutes ces parties du corps de sa Maitresse étaient déjà imberbes ; seul le principe de soumission comptait ; professionnellement, il dominait les autres, ses adversaires le qualifiaient même d’arrogant en affaire, et dans sa vie conjugale il devenait un autre homme, un homme soumis, un homme soumis aux ordres de son épouse, il ne l’avait pas toujours été, il l’était devenu au fils des ans, au fils du plaisir cérébrale qu’il avait prit, qu’il prenait, qu’il prend, qu’il prendra toujours à imaginer son épouse le dominer ; un jour il lui avait causée de son désir d’être son soumis déjà au fait de la domination féminine elle avait accepté et elle avait en signant le contrat de domination dissout le Patriarcat. -Bon travail soumis ! -Merci Maitresse. -Prends ma serviette et viens avec moi ! -Oui Maitresse. Elle se dirigea ...