La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 648)
Datte: 11/02/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°647) - Une bien étrange escale en Guadeloupe – (1/2) - Le départ de la slave Académie BDSM – MDE avait été quelque peu précipité, le temps comptait, l’avion pour le retour au Château en France n’allait pas attendre. Monsieur le Marquis d’Evans avait pris place à l’avant de la grosse berline américaine conduite par son neveu. Sur la banquette arrière soumis Endymion MDE paraissait songeur. Il était partagé entre la joie de retrouver le Château du Maître et toutes celles et ceux qu’il avait laissés, deux mois plus tôt, mais également triste de quitter cette Noble institution. Jamais, il n’oublierait ce que le Maître lui avait permis de vivre en ces lieux, des moments denses, parfois pénibles, souvent jouissifs, délicieusement pervers, toujours épanouissants, enrichissants et extrêmement formateurs pour devenir le parfait esclave. Il repartait donc en France, plus assujetti et dépravé que jamais, plus slave encore : une vraie prise de conscience comme une réalité existentielle de ce qu’était désormais sa vie ! Sous le pantalon trop étroit qu’on lui avait donné, soumis Endymion MDE avait bien du mal à dissimuler le dispositif de chasteté qu’on lui avait installé, une cage en plexi glace transparent avec un cadenas plastique numéroté. Ainsi affublé, nu sous son pantalon, il put passer la douane, sans histoire, sans déclencher une quelconque alarme sous les détecteurs de métaux. Dans la salle d’embarquement, ...
... l’esclave MDE attendit sagement debout, toujours tête basse, près du Maître, Lui assis. Une seule chose désormais le préoccupait, pourquoi prenait-il un vol d’air Caraïbes à destination de Pointe à Pitre ? Evidemment, il ne s’aventurait pas à poser la moindre question au Maître. Peut-être et sans doute une simple escale en Guadeloupe pour reprendre un vol à destination de Lyon ou de Paris. Monsieur le Marquis d’Evans voyageait lui aussi en classe économique à côté de son chien soumis à qui il laissa la place près du hublot. A peine assis, le Maître s’adressa à Endymion MDE toujours quelque peu partagé entre ses sentiments de joie et de tristesse. - Tu es si triste que ça Mon chien de rentrer en France ? La main du Maître caressait la cuisse d’Endymion MDE, comme pour le consoler… L’esclave MDE exprimait ses ressentis librement, le Maître l’écoutait attentivement. Parfois la main du Maître remontait sur l’entrecuisse d’Endymion et lui palpait les couilles, lui se laissait faire, écartant même les jambes ostensiblement, se fichant absolument des éventuels regards d’autres passagers. - Dis-toi Mon chien, que tu auras sans doute l’occasion de vivre des moments aussi intenses que ceux que je viens de te faire vivre. J’ai bien l’intention de poursuivre ton éducation, fusse dans la plus dégradante dépravation, parce que je sais que tu en as viscéralement besoin. Seul compte pour Moi ton épanouissement et ton bien être, tu es un bon chien soumis ! A cet instant, le Maître lui pressa une ...