1. Trouble au fournil


    Datte: 11/02/2020, Catégories: fh, extracon, grossexe, grosseins, intermast, Oral pénétratio, fsodo,

    Voilà maintenant 2 ans que Sylvie s’est installée dans ce village. Avec son mari, boulanger, ils ont investi dans ce commerce de proximité. Petite et un peu forte, mais très mignonne, elle anime avec vigueur cet endroit ou défilent tous les dimanches une queue leu leu de clients masculins venus se donner bonne conscience en achetant les croissants dominicaux. Elle perçoit pourtant bien leur regard inquisiteur lorsque penchée en avant sur le comptoir elle dévoile sa poitrine généreuse dans l’entrebâillement de son chemisier ou quand sur la pointe des pieds elle attrape une miche posée sur l’étagère du haut. Elle s’est souvent amusée à user de ses charmes pour aiguiser la convoitise de ses clients cependant que son mari œuvrait dans le fournil. Mais cela n’était qu’un jeu ponctuel qui restait sans effet mais qui pimentait un peu cette vie terne, dédiée complètement à ce commerce, et qui ne laissait plus aucune place à la fantaisie. Quelque fois dans la semaine venait un autre client. Celui là était un peu différent. La quarantaine, propre sur lui, costume cravate, voiture noire, ce devait être quelqu’un d’important. Sympathique et courtois, il était pourtant distant et réservé. La boulangère ne lui était pourtant pas indifférente. Elle avait aussi quelquefois surpris son regard se portant furtivement sur ses formes et ses rondeurs. Mais ce regard se détournait aussitôt dès que la belle se retournait. Sylvie se sentait pourtant très attirée par cet homme. Elle semblait ...
    ... discerner dans son regard des possibilités. Un pan d’une autre vie qui s’ouvrait parfois dans ses yeux bleus. Elle ne ménageait pas ses efforts pour captiver l’attention de ce client. Connaissant précisément le jour et l’heure de son passage, Sylvie soignait toujours son apparence. La jupe assez courte, le chemisier au décolleté plongeant, ses seins bien en évidence et libre de tout soutien, les petites chaussures à talon, le maquillage parfait, tous les artifices étaient en place. Pas un de ses clients n’aurait eu l’audace d’être indifférent à cette femme si désirable. Mais ce client semblait imperturbable et son passage ne durait que quelques minutes. Un jeudi de novembre, dans l’après-midi, Sylvie, restée seule après le départ de son mari pour la sieste quotidienne, finissait de ranger le magasin devenu désert. La clochette de la porte tinta soudain, rompant ainsi le silence des lieux. Elle fut très surprise de voir entrer son client préféré. Rouge de confusion, elle arrangea inconsciemment sa tenue en se rendant au comptoir. « Bonjour Madame » dit-il d’une voix amicale. « Il est un peu tard pour acheter du pain mais je venais à tout hasard pour voir s’il vous en restait » Sylvie bredouilla quelques excuses en expliquant qu’elle n’en avait plus. « Il en reste peut-être au fournil mais je ne sais pas allumer la lumière et il y fait sombre ». L’homme se proposa de l’accompagner pour régler ce petit problème technique. Sylvie ne put qu’accepter et l’entraîna dans le couloir sombre ...
«123»