1. LA MERE DE MA COPINE VEUT TOUT SAVOIR


    Datte: 11/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... autre chose à faire. Fis-je, en démarrant le moteur. - Je suis tout bonnement sa mère, et par ce fait, je dois savoir, répondit-elle en prenant initiation de couper le contact. Et j’aime savoir qui ma fille fréquente… voilà tout ! Après un court silence, elle enchaîna : - J’espère pour vous que vous n’avez pas commis de bêtise ? - Qu’entendez-vous dans bêtise ? - Enfin, voyant ne joue pas l’imbécile. Tu sais parfaitement où je veux en venir. Je veux seulement savoir si tu as couché avec elle… Je sentais l’horizon s’assombrir de plus en plus. Et il n’était pas question pour moi de me dérober. Il fallait que je joue front jeu. Tant pis pour le déluge qui allait suivre. - J’admets avoir eu des relations protégées avec Fabienne. Elle se tapa les cuisses avec ses mains et explosa : - J’en étais sûr ! Elle plongea sur moi son regard froid comme une lame de couteau. - Gros pervers… répliqua-t-elle, la faciale rouge pivoine. Ta conduite est inqualifiable… Ses yeux brillaient de sadisme. - Tu as baisé mon bébé… ce n'est pas possible… je fais un cauchemar, là, je vais me réveiller. Elle était folle de rage. - Je ne peux pas l’imaginer… mon bébé. Elle éclata en sanglots. Des larmes inondaient son visage. Elle marmonna sans cesse de façon inintelligible, la même phrase : - Il a baisé mon bébé… Il a baissé mon bébé… J’assistais pitoyablement à son effondrement. Et il m’était difficile de rester insensible devant une femme en détresse. Et par ma faute en surcroit. Doucement, j’effleurais ...
    ... ses cheveux de ma main. Comme cela ne provoquait aucune réaction de sa part, j'appuyais un peu plus ma cajolerie. Toujours sans aucun effet. Alors je fis glisser ma main sur son épaule. Elle leva alors son regard. Il était voilé de larmes. - Je veux que tu me baises aussi. Fais avec mon corps ce que tu fais avec celui de Fabienne… et vite… j’en es un énorme besoin pour atténuer ma peine… Ma première pensée fut qu’elle divaguait. Que cela allait s'arranger. Mais alors que je restais figé, outré. Elle ! La mère de Fabienne écarta ses jambes, et en se contorsionnant se débarrassa de sa culotte en nylon de couleur noire, qu'elle prit le temps de poser sur le tableau de bord. - Prends- moi ! Là tout de suite. Tu entends prend… - Mais madame ! - Quoi madame ! Il n’y a pas de madame. Il n’y a plus de madame… il n'y a que Fabienne dans cette voiture… je suis fabienne… tu ne trouves pas qu’elle me ressemble. Elle avait pété les plombs. Tout en parlant elle se dénudait le haut. Très vite je fus en face d’une copieuse poitrine. Comme elle ne pouvait pas déboutonner sa jupe, trop nerveuse par l’excitation qui l'a submergé, elle la retroussa. Tout en haut de ses fortes cuisses se tenait un gros buisson de poils noirs qui lui couvrait le ventre et qui débordait de toutes parts. Prenant le tinte d’une voix plus jeune qui aurait pu avec une grande imagination ressembler à celle de sa fille, elle me supplia : - Mais tu vas enfin me prendre. Je ne tiens plus… je n’ai pas arrêté de penser à toi ...