Trois copines et un gode
Datte: 11/02/2020,
Catégories:
Lesbienne
Charlotte et Fanta me rendent souvent visite, principalement les jeudis après-midi. Avant de se rendre à leur séance de step au club Moving, à deux pas de ma rue, mes deux amies viennent boire le thé chez moi, dans mon appartement. Nous papotons de choses et d’autres comme trois copines peuvent le faire. Elles me parlent avec passion de leur prof de step qui exerce sur elles une sorte de fascination empreinte de charme et de fantasmes. Je leur raconte mes aventures avec les hommes que je rencontre lorsque je suis en tournée. La semaine dernière, Charlotte et Coralie passèrent juste après leur cours, nous prenions comme chaque semaine le thé dans mon salon, assises toutes les trois sur le canapé, ce jour-là inondé de soleil. Nous discutions une fois de plus du beau Gil, leur prof de gym, quand Coralie me dit :« regarde dans mon sac, j’ai une photo de Gil que j’ai réussi à lui subtiliser, il ne sais pas que je l’ai »J’attrapais le sac de Coralie, Je l’ouvrais et commençais à chercher la photo en question. Mais mon attention fut vite détournée par un autre objet qui se trouvait dans le sac.« tu as un godemichet dans ton sac Coralie, tu te sers de ce genre d’ustensile ? je n’aurais jamais imaginé que tu puisses posséder un tel objet »Les joues de Coralie prirent une teinte rosée sous ses cheveux bruns. Charlotte laissa échapper un soupir d’étonnement.« oui, je m’en sers assez souvent pour ne rien vous cacher. Ce petit objet possède des vertus merveilleuses, il dispense beaucoup ...
... de plaisir à qui sait s’en servir. Quand on l’utilise, très vite on ne peut plus s’en passer. »Je le sortais du sac, je l’observais attentivement sous tous les angles. C’était la première fois que je tenais un godemichet dans mes mains. Je laissais courir mes doigts le long de l’objet, découvrant une matière souple et moelleuse étonnement agréable au toucher. Je le portais machinalement sous mon nez pour le sentir. Un parfum suave et musqué caressa mes papilles olfactives. Je trouvais cette sensation plutôt captivante et déroutante à la fois. Je me demandais s’il s’agissait du parfum des effluves de Coralie ou de l’odeur produite par cette matière que je ne parvenais pas à définir avec précision ? J’avais très envie de poser ma langue sur cette verge postiche pour en connaître le goût. Coralie se rendit compte de ma curiosité pour cet objet des plaisirs solitaires.« tu peux y poser tes lèvres Fanta, si tu le désires ! » dit Coralie comme pour me donner le feu vert et me permettre de faire ce que je n’aurais pas osé faire sans son aval. Je posais alors ma langue à la base de l’objet et remontais lentement vers l’extrémité haute du membre factice. Je sentis sous ma langue, à la fois un goût délicieux et douceâtre, et une rugosité proche de celle d’une véritable verge. Sentant que Coralie et Charlotte ne semblaient nullement gênées par la situation, je laissais libre cours à mes instincts et fit coulisser mes lèvres le long du gland, détectant sous ma langue la protubérance du ...