1. Sensations nouvelles


    Datte: 11/02/2020, Catégories: fh, couple, amour, volupté, fsoumise, Oral nopéné, jeu, attache, yeuxbandés, ecriv_f,

    ... genoux ; les écartent. Je sens ton visage approcher et retiens mon souffle. Ahhhhh ! Ta bouche qui me butine me rend toute humide, m’obsède, affolant mes sens au plus haut point, me laissant offerte à ta convoitise… C’est un léger souffle d’air qui arrive, si léger qu’il ressemble au début, à un fin courant d’air. Mais il se répète, devient plus chaud, comme si tu soufflais, légèrement, sur ma peau. Tout mon esprit est en éveil. Tes lèvres se posent, douces et gourmandes. Je frémis, le corps mourant d’envie de découvrir ta langue. Mais tu as décidé de prendre ton temps et je me fais pénitence, attentive, à chaque nouveau mouvement… Le temps semble suspendu à tes lèvres, que je sens folâtrer, sur ma chair impatiente. Mon corps, peu à peu, s’électrise, guettant chaque endroit où tu décideras de te poser. « Encore ! Encore ! » ai-je envie de te murmurer, avide d’être goûtée ! Mais, j’ai promis de garder le silence en te laissant faire, ce que tu aimes à volonté. Seule ma chair a le droit de manifester ce qu’elle ressent. Il y a, dans l’air de la chambre, une certaine électricité qui flotte. Toute mon attente semble s’être soudain matérialisée. C’est la caresse de tes doigts qui repoussent ma jupe, un peu plus haut, peu à peu. C’est mon bas-ventre qui se soulève, guettant l’instant où tes lèvres reviendront. Un soupir m’échappe. Reviens ! Ne me laisse pas encore languir plus longtemps. Cette attente devient inhumaine voire frustrante. Comme si tu percevais le trouble de mon ...
    ... impatience, tu reposes tes lèvres exigeantes sur mon sexe, laissant jouer dessus le bout de ta langue avide de goûter le nectar de mes lèvres. Celles-ci se gorgent de désir; l’intérieur, de rose pâle en devient rouge sang. Ta langue s’achemine entre elles, lentement, me laissant les doigts crispés sur les draps, attendant la petite mort pour me délivrer. De toi, j’ai si faim, que j’enrage de ne pas être autorisée à bouger. Mes hanches commencent, lentement, une douce reptation vers cette bouche qui ne cesse de m’affoler et qu’en silence, je quémande … Mon souffle se fait plus fort, comme s’il trahissait mon impatience. Mon corps semble danser mystérieusement sous cette langue gourmande en train de me goûter. La pointe se fraie un chemin entre mes chairs, jouant à descendre puis remonter sans cesse, laissant mon désir éperdu commencer à suinter. Mes sens s’enflamment comme une torche vivante, sous cette bouche qui se joue, à me butiner. Je laisse échapper un gémissement qui te comble d’aise alors que mon corps torturé par tes baisers, semble soudain m’échapper. J’ai chaud et froid. Tu joues de ce désir comme un artiste de ses doigts sur son piano. Mes pensées semblent tourbillonner ; je n’arrive plus à réfléchir, juste à penser au sexe et au plaisir qui m’envahit, en fonction de ce que tu veux bien me donner. Je coule, remonte en surface comme une bulle, soudain bousculée, perdant l’équilibre, ne sachant plus où ta bouche va se poser. J’ai la tête qui tourne sous la violence de mes ...