1. Seule en club 2


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Anal Partouze / Groupe Sexe Interracial,

    Ça y est mon mari est parti... il a été tellement distant avec moi ces derniers jours que je n’ai plus aucun scrupule à retourner au club seule sans qu’il le sache.En écho à notre tension maritale, je suis dans une excitation sexuelle insoutenable. C’est toujours l’effet que me font la tristesse et la nervosité. J’ai besoin que mon corps exulte, qu’il décharge ses fluides, de n’être qu’une poupée de chair avec des trous à remplir, sans aucune modération.J’ai envoyé un mail au patron du club pour le prévenir que je venais ce soir et que je voulais du trash, du bien crade.Il m’a juste répondu« Ok, je te prépare ça »J’ai mis des porte jarretelles, sans culotte, des grandes bottes noires à talons de douze, des couettes, un maquillage outrancier avec les yeux charbonneux et la bouche rouge vif. J’ai même mis du rouge à lèvres sur mon trou du cul, pour faire comme une bouche.J’ai réussi à écrire « servez-vous » au marqueur sur le bas de mon dos en m’appliquant bien face au miroir.Et surtout je ne me suis pas branlée depuis une semaine au moins pour garder toute mon énergie pour ce soir. Ce n’est pas l’envie qui m’a manqué mais j’ai réussi à résister à la tentation pour être une vraie cocotte minute le jour j.Et le jour j, c’est dans 1 heure maintenant....j’en bave, je joue avec ma salive, la faisant dégouliner sur mes lèvres en rêvant à du sperme. Je me suis même gavée de noix de cajou salées et de chips pour avoir la pépie toute la nuit et me désaltérer à ma source préférée : des ...
    ... gros glands qui jutent.Je mets un grand manteau d’hiver et attends le taxi que j’ai appelé. Je n’ai pas envie de prendre la voiture, d’avoir quoi que ce soit à contrôler. Je veux juste me laisser conduire, partir en voyage avec des hommes rudes qui me violent de partout et me remplissent le corps de leur belle purée blanche. Je veux m’empaler sur une montagne de bites, que la neige éternelle des hauts sommets se transforme en torrent de foutre dans lequel j’épanche ma soif.Le trajet me parait long, infini. Je suis en apnée sur la banquette arrière, fébrile, je bascule la tête en arrière sur le siège, envahie d’images et d’odeurs de sexes qui jouissent.Le chauffeur me demande même si je vais bien, si je ne suis pas malade.Je réponds, agressive« Pourquoi, tu veux me prendre la température ? »Il se tait définitivement.Je sens mes muqueuses qui s’ouvrent de partout, se remplissent de jus, se préparent à leur démolition à coups de bulldozer.J’arrive au club tête droite. Le videur me reconnait. Je lui caresse la braguette pendant qu’il me fait la bise.Le boss est devant le vestiaire.« Bonsoir Louise »J’enlève mon manteau et lui tends. Je suis déjà à poil quand nous traversons ensemble la grande salle avec le bar, la piste de danse et l’écran vidéo géant. Tout le monde se retourne sur nous en sifflant.Il m’emmène dans son bureau. Nous sommes seuls. Il me désigne le canapé et va s’assoir sur une chaise de l’autre coté de la table basse.Je m’installe jambes écartées sur le sofa pour ...
«1234...»