1. Une soirée danoise


    Datte: 12/02/2020, Catégories: fhh, fplusag, jeunes, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, facial, 69, pénétratio, fsodo, hsodo, totalsexe,

    Le carillon de la porte du bar retentit, je me retournai sur les nouveaux arrivants. Il s’agissait d’un groupe de jeunes gens, dans les 22 à 25 ans, sans doute un groupe d’étudiants en goguette ; bref, rien d’étonnant pour un samedi soir à Copenhague. J’allais replonger le nez dans ma bière, lorsque je les entendis s’exprimer bruyamment en français. Il m’était agréable d’entendre ma langue maternelle après six mois de travail dans une société danoise. J’examinai plus attentivement le groupe qui venait de prendre place à une table voisine de la mienne. Deux d’entre eux me regardaient avec insistance, ils ne détournèrent pas leurs regards et me sourirent. Je devais les intriguer. Que faisait une jeune femme seule dans un bar où tout le monde est en groupe ou en couple ? L’un des deux, celui qui avait les cheveux blonds d’un Scandinave arrêta son regard sur mes jambes nues et remonta jusqu’à mi-cuisses à la limite de la dentelle de ma minirobe noire. L’autre, très brun, fixait comme hypnotisé mon décolleté très échancré. J’étais flattée et je me sentais sexy ; depuis que j’ai passé les 45 ans, je suis devenue sensible à ces regards portés sur moi par des jeunes hommes. Mes deux admirateurs délaissèrent la bruyante conversation du groupe pour échanger quelques mots entre eux. Comme tous les étrangers dans un pays, ils se mirent à parler fort, convaincus de ne pas être compris par les tablées voisines. Je les entendis clairement s’interroger sur ma solitude dans ce lieu, ils ...
    ... évoquèrent un lapin posé par un homme, un chagrin d’amour, mon attirance pour les femmes. Ils se mirent ensuite à espérer une occasion de me séduire et commentèrent mes attraits. Amusée, je finis ma bière, je me levai, j’attendis qu’ils aient fini d’admirer mon petit cul rond et ferme et je m’approchai. Je les saluai en français et ris du rouge qui envahit leurs joues. Pour ajouter à leur confusion, je leur expliquai que j’étais seule ce soir parce que j’en avais envie, que je n’étais pas amoureuse et que si j’aimais les femmes, j’aimais aussi les hommes. De vermillon, ils devinrent cramoisis. Je leur pris à chacun une main et je les fis lever en annonçant au groupe encore assis que je les enlevais pour la soirée. Ce fut dans notre dos, un hurlement, des commentaires coquins et surtout une immense envie d’être à leur place. Mes deux compatriotes étaient estomaqués et ravis de leur bonne fortune, nous partîmes bras dessous bras dessus dans la rue. Il faisait doux et nous marchâmes en bon moment, mes deux coquins avaient de l’humour et leur conversation me distrayait de ma solitude actuelle. Tout en déambulant dans les rues animées, je les amenai vers l’immeuble dans lequel j’avais loué, pour la durée de ma mission, un appartement petit mais confortable. Nous passâmes ma porte d’entrée ; arrivés au salon, ils cessèrent de plaisanter et me regardèrent avec un mélange d’envie et de gêne. Je mis un peu de musique douce et je me mis à danser doucement. J’enlevai agilement mes sandales, ...
«1234»