1. La fête des voisins


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tétons proéminents ; nini geint, crie mais cette fois de plaisir, cette double vaginale la comble ; soumise à cette double saillie , elle jouit, et je ne peux que constater qu’elle s’offre à ces deux fougueux amants, sans retenue. Se tournant sur le côté, sans quitter le doux conduit, ils peuvent alors accorder leurs assauts , la besognant pendant un long moment, la faisant jouie en continu ; puis se retirant , et retirant leur capote, ils se vident sur ses seins et son visage. Nini « git » entre ses deux amants, sans doute repue, mais il n’en est pas de meme pour celui qui est le plus membré ; il n’a pas débandé et lui remontant les jambes sur les épaules, il se sert de la semence sur ses seins pour lui graisser le sillon et pétrir son anneau ; son doigt l’ouvre doucement et bientôt deuxdogts la dilate ; les yeux fermés, elle se cambre pour s’offrir un peu plus et quand il glisse son gland contre l’ouverture, elle l’encourage ; la queue s’enfile doucement et quand le gland franchit le sphincter, son visage se crispe ; d’autant qu’il en profite pour donner un profond coup de rein et finalement son bassin s’crasse sur les fesses offertes ; profitant de sa domination, il l’a prend par les cuisses, et in s’ensuit une puissante et complète sodomie ; nini crie, griffe, geint , libérant sa jouissance par des cris ; cette fois il ne se retire pas et collé contre elle , il éjacule. Quand il ...
    ... se retire, enlevant sa capote, il lui présente sa queue et à grand coup de langue, elle le nettoie. Pour moi, cela fait déjà deux fois que j’éjacule ; voulant les rejoindre, je m’approche du lit et je me penche sur elle pour l’embrasser, pensant que la séance est terminée ; sa lèvre sent le sperme et me rendant un long baiser, elle me dit « j’ai encore envie deux, vas dans l’autre chambre » c’est sans réplique et un peu sonné, je m’éloigne. Pendant plus deux heures, je vais les entendre la posseder, avant de m’endormir ; ce n’est que vers 6h que je me réveille ; je me dirige vers la chambre, et là étonnement, ils sont encore là et l’un deux est entrain de la sodomiser. Quand elle m’aperçoit, un grand sourire aux lèvres elle me dit « regarde, il va encore me faire jouir ; ils m’ont saillie toute la nuit et je leur appartiens ; laisse nous » Ce n’est que tard dans la matinée qu’ils sont partis ; me rejoignant dans le salon, elle se glisse contre moi ; c’est la première fois qu’elle se livre ainsi et j’avoue que je suis un peu abasourdi ; elle se fait chatte comme à chaque fois après. Puis s’allongeant sur le canapé, elle écarte les cuisses « viens me prendre, car si eux m’ont baisée toute la nuit, tu es le seul à pouvoir me remplir de sperme, donne moi ta jute car si j’aime te faire cocu, mais toi aussi, tu es mon seul amour, et même si je dois les revoir, toi seul pourra me féconder. 
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