1. Un Dimanche hors du commun...


    Datte: 12/02/2020, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou

    La moisson était terminée, nous parlions de vacances. Nous étions sereinement à l'apéro chez un autre agriculteur du village et je pensais encore à mon après-midi. J'étais assise et mon derrière encore quelque peu endolori m'empêchait de penser à autre chose. Je venais de le tromper seule, sans retenue, en prenant un pied d'enfer, et je me retrouvais même inassouvie. J'avais encore envie, envie d'être prise, sans autres sentiments, baisée, bref, jouir, me liquéfier. Il m'avait dit à demain. Il est 22h00, nous n'avons pas encore manger et ça picole, ça picole. Je réponds simplement aux questions posées, je pense à lui...23h00, je me lève et je dis à Yann que je rentre. Il me réponds dans un langage proche de l'Ouzbèque, qu'il doit être d'accord. L'air est encore chaud, les pierres des maisons dégagent de la chaleur. J'ai la clé du garage, j'ai juste à prendre une petite ruelle pour rentrer. Je fais le tour du village pour profiter de cette belle soirée d'été. Je pense. Les papillons arrivent... Je tourne dans notre rue et je ne sais ce qu'il me passe par la tête, j'ouvre ma robe, je n'en peux plus, j'ai envie, envie de baiser, de me caresser, de sentir son odeur, il m'obsède, je regarde mon téléphone, les lumières de rue sont éteintes, je continue sur le chemin qui mène vers les champs, je rêve d'un message. Je marche ainsi, la robe ouverte, mes seins sont durs, mon duvet se dresse sur ma peau, mon cœur bat à tout rompre, je suis seule au monde. Les papillons se multiplient, ...
    ... je sens des fourmis dans mon entrejambe. Je n'ose y toucher, si j'y passe ma main, je suis morte, je ne pourrais pas m'arrêter. J'ai l'impression que mes joues sont pourpres.Je cours, sentir l'air me fait du bien, m'essouffle puis rentre. Je m'engouffre dans le garage et je me déshabille. Ainsi nue, j'ère à la maison, je ne veux pas me coucher, je m'allonge sur la canapé, je souhaite qu'un homme rentre, là, et me prenne sans ménagement, mais rien, le calme, le silence absolu, je joue avec mon corps et commence à somnoler.De la lumière m'extrait de mon endormissement. Plus qu'un endormissement, puisque c'est la lumière du jour. Je suis recouverte d'une couverture, je ne sais l'heure qu'il est, je pense que Yann est rentré. Je baille, m'étire et je me lève, toujours dans le plus simple appareil et je me dirige vers la cuisine. Pas de café, pas de pain, pas de croissants, il est 9h10. Mon téléphone ! Où est-il ? Je le cherche, pas moyen, je suis inquiète, l'a t-il trouvé, je n'ai pas effacé les messages et je ne le verrouille pas... je suis inquiète, j'enfile un peignoir, je n'ose le faire sonner pour le retrouver. Je jette un œil dans la chambre, le lit est défait mais personne, où SONT-ILS ? Je jette un œil par la fenêtre, le soleil est déjà très fort, son 4x4 est là. Le véhicule de notre employé aussi. J'entends du bruit au hangar, ils rangent la moissonneuse. Ouf ! Enfin, pas temps que je n'ai pas retrouvé mon téléphone, je le fais sonner avec le fixe. Je cherche, il est au ...
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